La communauté internationale salue unanimement l'accord de cessez-le-feu à Ghaza
ALGER - La communauté internationale a unanimement salué l'accord de cessez-le-feu à Ghaza conclu entre le mouvement de résistance palestinien Hamas et l'entité sioniste, après plus de 15 mois d'agression génocidaire, appelant à la mise en œuvre "effective" des termes de l'entendement pour permettre l'arrivée de l'aide humanitaire dans l'enclave palestinienne et l'instauration d'une paix durable dans la région. Le Qatar a affirmé mercredi qu'un accord a été conclu entre l'entité sioniste et le mouvement de résistance palestinien Hamas pour un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza ainsi qu'un échange de prisonniers. "L'accord entrera en vigueur le dimanche 19 janvier", a précisé le Premier ministre du Qatar selon lequel "un mécanisme de suivi sera mis en place, géré par l'Egypte, le Qatar et les Etats-Unis". L'Algérie a exprimé sa satisfaction suite à l'annonce de l'accord de cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, affirmant la nécessité de concrétiser cet accord dans tous ses termes et ses dimensions, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines. "L'Algérie a accueilli avec une grande satisfaction l'annonce de l'accord de cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, un accord tant attendu pour atténuer la souffrance du peuple palestinien et mettre fin à l'injustice qu'il subit dans la guerre génocidaire menée contre lui par l'occupation sioniste depuis plus de 15 mois", lit-on dans le communiqué. L'Emir de l'Etat du Qatar, Cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani a exprimé l'espoir que cette annonce contribuerait à mettre fin à l'"agression, la destruction et les assassinats dans la bande de Ghaza et dans les territoires palestiniens occupés", et à entamer une nouvelle phase dans laquelle, "cette juste cause" ne serait pas marginalisée. Le nouveau président libanais Joseph Aoun a, pour sa part, dit espérer que l'accord de cessez-le-feu "conduira à la fin de la situation tragique à Ghaza" et réitéré "le droit des Palestiniens à leur Etat souverain sur la base des résolutions de la légitimé internationale". L'Arabie saoudite "souligne l'importance de s'en tenir à l'accord et de mettre un terme aux agressions (sionistes) sur Ghaza, et du retrait des forces d'occupation, de manière totale de la bande" de Ghaza et de "tous les autres territoires palestiniens et arabes", selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères. -- Protection des droits humains et entrée de l'aide humanitaire à Ghaza, l'autre urgence -- De son côté, le ministère irakien des Affaires étrangères a mis l'accent sur "la nécessité de permettre immédiatement l'arrivée de l'aide humanitaire dans la bande de Ghaza et dans les territoires palestiniens", tout comme le MAE jordanien et le président égyptien Abdelfattah al-Sissi qui ont exhorté la communauté internationale à engager une "action immédiate pour acheminer l'aide", pour faire face à "la situation humanitaire catastrophique actuelle". L'Afrique du Sud, par la voix de son ministère des Affaires étrangères, a salué l'accord de cessez-le-feu conclu après 15 mois d'attaque génocidaire sioniste contre Ghaza et appelé à "la mise en œuvre d'une paix juste et durable qui garantisse la protection et la promotion des droits humains des Palestiniens (...)". Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a, quant à lui, salué la "résistance" palestinienne qui a "vaincu" l'entité sioniste, après 'annonce de l'accord de cessez-le-feu à Ghaza, relevant que "le monde a compris que la patience des habitants de Ghaza et la ténacité de la résistance palestinienne ont forcé le régime sioniste à battre en retraite". "Nous espérons que cet accord sera bénéfique pour notre région et pour toute l'humanité, en particulier pour nos frères palestiniens, et qu'il ouvrira la voie à une paix et à une stabilité durables", a, de son coté, écrit le président turc Recep Tayyip Erdogan. Le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé que l'accord à Ghaza n'avait que "trop tardé", relevant qu'il faut désormais s'attacher à bâtir "un avenir durablement meilleur (...) grâce à une solution à deux Etats". Le chancelier allemand Olaf Scholz a estimé que l'accord sur un cessez-le-feu à Ghaza "pourrait ouvrir la voie à une fin durable de la guerre et à l'amélioration de la situation humanitaire précaire" dans l'enclave palestinienne. Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a écrit sur les réseaux sociaux que l'accord "représente une étape indispensable sur la voie d'une solution à deux Etats et d'une paix juste et respectueuse du droit international". Le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani a estimé devant les journalistes que l'accord de cessez-le-feu à Ghaza était "une excellente nouvelle", et "un pas important vers la paix", appelant à le consolider et à avancer vers les prochaines étapes. La présidente de la Commission e
ALGER - La communauté internationale a unanimement salué l'accord de cessez-le-feu à Ghaza conclu entre le mouvement de résistance palestinien Hamas et l'entité sioniste, après plus de 15 mois d'agression génocidaire, appelant à la mise en œuvre "effective" des termes de l'entendement pour permettre l'arrivée de l'aide humanitaire dans l'enclave palestinienne et l'instauration d'une paix durable dans la région.
Le Qatar a affirmé mercredi qu'un accord a été conclu entre l'entité sioniste et le mouvement de résistance palestinien Hamas pour un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza ainsi qu'un échange de prisonniers.
"L'accord entrera en vigueur le dimanche 19 janvier", a précisé le Premier ministre du Qatar selon lequel "un mécanisme de suivi sera mis en place, géré par l'Egypte, le Qatar et les Etats-Unis".
L'Algérie a exprimé sa satisfaction suite à l'annonce de l'accord de cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, affirmant la nécessité de concrétiser cet accord dans tous ses termes et ses dimensions, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines.
"L'Algérie a accueilli avec une grande satisfaction l'annonce de l'accord de cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, un accord tant attendu pour atténuer la souffrance du peuple palestinien et mettre fin à l'injustice qu'il subit dans la guerre génocidaire menée contre lui par l'occupation sioniste depuis plus de 15 mois", lit-on dans le communiqué.
L'Emir de l'Etat du Qatar, Cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani a exprimé l'espoir que cette annonce contribuerait à mettre fin à l'"agression, la destruction et les assassinats dans la bande de Ghaza et dans les territoires palestiniens occupés", et à entamer une nouvelle phase dans laquelle, "cette juste cause" ne serait pas marginalisée.
Le nouveau président libanais Joseph Aoun a, pour sa part, dit espérer que l'accord de cessez-le-feu "conduira à la fin de la situation tragique à Ghaza" et réitéré "le droit des Palestiniens à leur Etat souverain sur la base des résolutions de la légitimé internationale".
L'Arabie saoudite "souligne l'importance de s'en tenir à l'accord et de mettre un terme aux agressions (sionistes) sur Ghaza, et du retrait des forces d'occupation, de manière totale de la bande" de Ghaza et de "tous les autres territoires palestiniens et arabes", selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
-- Protection des droits humains et entrée de l'aide humanitaire à Ghaza, l'autre urgence --
De son côté, le ministère irakien des Affaires étrangères a mis l'accent sur "la nécessité de permettre immédiatement l'arrivée de l'aide humanitaire dans la bande de Ghaza et dans les territoires palestiniens", tout comme le MAE jordanien et le président égyptien Abdelfattah al-Sissi qui ont exhorté la communauté internationale à engager une "action immédiate pour acheminer l'aide", pour faire face à "la situation humanitaire catastrophique actuelle".
L'Afrique du Sud, par la voix de son ministère des Affaires étrangères, a salué l'accord de cessez-le-feu conclu après 15 mois d'attaque génocidaire sioniste contre Ghaza et appelé à "la mise en œuvre d'une paix juste et durable qui garantisse la protection et la promotion des droits humains des Palestiniens (...)".
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a, quant à lui, salué la "résistance" palestinienne qui a "vaincu" l'entité sioniste, après 'annonce de l'accord de cessez-le-feu à Ghaza, relevant que "le monde a compris que la patience des habitants de Ghaza et la ténacité de la résistance palestinienne ont forcé le régime sioniste à battre en retraite".
"Nous espérons que cet accord sera bénéfique pour notre région et pour toute l'humanité, en particulier pour nos frères palestiniens, et qu'il ouvrira la voie à une paix et à une stabilité durables", a, de son coté, écrit le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé que l'accord à Ghaza n'avait que "trop tardé", relevant qu'il faut désormais s'attacher à bâtir "un avenir durablement meilleur (...) grâce à une solution à deux Etats".
Le chancelier allemand Olaf Scholz a estimé que l'accord sur un cessez-le-feu à Ghaza "pourrait ouvrir la voie à une fin durable de la guerre et à l'amélioration de la situation humanitaire précaire" dans l'enclave palestinienne.
Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a écrit sur les réseaux sociaux que l'accord "représente une étape indispensable sur la voie d'une solution à deux Etats et d'une paix juste et respectueuse du droit international".
Le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani a estimé devant les journalistes que l'accord de cessez-le-feu à Ghaza était "une excellente nouvelle", et "un pas important vers la paix", appelant à le consolider et à avancer vers les prochaines étapes.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a salué l'accord de trêve et exhorté les deux parties à "le mettre pleinement en œuvre".
La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a dit espérer une "stabilisation durable de la situation à Ghaza" afin de créer "les conditions pour le retour de toutes les personnes temporairement déplacées".
La Chine a appelé à la mise en œuvre "effective" de l'accord de cessez-le-feu à Ghaza qui serait à même de "promouvoir l'apaisement des ensions dans la région".
Le Pakistan espère que la trêve "conduira à un cessez-le-feu permanent et permettra d'intensifier l'aide humanitaire", réaffirmant son soutien à "une solution juste, globale et durable à la question palestinienne".
Par ailleurs, le Comité international de la Croix rouge (CICR) s'est dit prêt à faciliter la libération (...) de prisonniers et à "augmenter massivement" son assistance à Ghaza, tandis que le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus a écrit sur les réseaux sociaux que "la paix est le meilleur des remèdes".