La Palestine appelle l’ONU à prendre des mesures pour mettre fin au génocide sioniste à Ghaza
Le Représentant permanent de la Palestine auprès des Nations Unies, Riyad Mansour, a appelé la communauté internationale à agir pour contraindre l’entité sioniste à lever le siège imposé à Ghaza et à mettre fin à sa politique de punition collective et à ses tentatives d’affamer, de détruire et de déplacer de force de leurs terres […]

Le Représentant permanent de la Palestine auprès des Nations Unies, Riyad Mansour, a appelé la communauté internationale à agir pour contraindre l’entité sioniste à lever le siège imposé à Ghaza et à mettre fin à sa politique de punition collective et à ses tentatives d’affamer, de détruire et de déplacer de force de leurs terres les Palestiniens, a rapporté l’agence de presse palestinienne Wafa.
Dans trois lettres identiques envoyées vendredi au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, au président du Conseil de sécurité pour le mois de mars (Danemark) et au président de l’Assemblée générale de l’ONU, Riyad Mansour a dénoncé l’utilisation continue par l’entité sioniste de toutes les formes d’armes létales et explosives dans la bande de Ghaza, densément peuplée, sans aucun égard pour la vie des civils.
Cette agression sioniste a fait au moins 792 martyrs et plus de 1.700 blessés depuis que les autorités d’occupation ont décidé de mettre fin au cessez-le-feu à Ghaza, en plus du déplacement de plus de 142.000 Palestiniens au cours de la semaine dernière.
Le diplomate palestinien a également rappelé que le bilan de l’agression sioniste sur la bande de Ghaza s’est aggravé à 50.144 martyrs et 113.704 blessés, depuis le 7 octobre 2023, soulignant que l’occupant sioniste continue d’empêcher toute aide humanitaire d’entrer dans l’enclave palestinienne depuis trois semaines consécutives, la plus longue période de privation depuis le début du blocus.
Le représentant permanent de la Palestine à l’ONU a notamment exprimé son inquiétude face à la décision des Nations Unies de réduire leur présence à Ghaza, compte tenu de la catastrophe humanitaire sans précédent et de l’augmentation des besoins fondamentaux dans l’enclave.