Oran: ouverture des travaux de la 11e session du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique
ORAN - Les travaux de la 11 ème session du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique ont été ouverts, dimanche à Oran. La cérémonie d'ouverture a été présidée par le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, qui a lu à l'occasion le message du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Ce séminaire connait la présence Mme Selma Bakhta Mansouri, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée des Affaires africaines, les membres du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine, ainsi que les membres africains actuels, entrants et sortants du Conseil de sécurité des Nations Unies, en plus de la République coopérative du Guyana en tant que représentante de l'Amérique latine et des Caraïbes au sein du mécanisme A3+1. Y participent également la Commission de l'Union africaine, l'Organisation des Nations Unies, ainsi que les amis et partenaires de la conférence. La 11 ème session porte sur plusieurs thèmes stratégiques d'une grande importance, notamment le renforcement de la coordination entre le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine et les trois membres africains du Conseil de sécurité (A3), afin de faire entendre la voix de l'Afrique au sein de cette instance et de défendre efficacement les positions communes du continent sur les questions liées à la paix et à la sécurité. Parmi les sujets qui seront abordés figurent également la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent, par le renforcement des capacités intégrées des Etats africains pour relever ces défis, avec un accent particulier sur le rôle du Centre africain de lutte contre le terrorisme (AUCTC) à l'occasion de son 20 ème anniversaire. Les participants examineront également les modalités de mise en œuvre du "Pacte pour l'avenir", adopté par l'Assemblée générale des Nations unies en septembre dernier, en particulier concernant la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies et l'application de la résolution 2719 sur le financement des opérations de soutien à la paix menées sous la direction de l'Union africaine. L'Algérie joue dans cette session un double rôle : celui de pays hôte et initiateur de cette conférence, et celui de membre du groupe africain A3 au Conseil de sécurité pour la période 2024-2025. Ce séminaire reflète l'engagement constant de l'Algérie à renforcer l'action africaine commune et à trouver des solutions africaines aux défis du continent. Il offre également une opportunité de consolider les efforts visant à renforcer le bloc africain au sein des instances internationales multilatérales. Ce séminaire, institutionnalisé à travers le projet du "Processus d'Oran", constitue une plateforme stratégique pour renforcer l'action commune africaine. Il fournit une feuille de route pour les diplomaties africaines, soutenant ainsi les efforts du continent pour assurer la sécurité, la stabilité et un rôle actif dans la prise de décisions internationales. A travers cette session, l'Algérie réaffirme son engagement à faire entendre la voix de l'Afrique sur la scène internationale et à œuvrer pour renforcer la solidarité africaine face aux défis communs, conformément à la vision des pères fondateurs en faveur de l'unité et de la prospérité du continent.
ORAN - Les travaux de la 11 ème session du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique ont été ouverts, dimanche à Oran.
La cérémonie d'ouverture a été présidée par le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, qui a lu à l'occasion le message du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.
Ce séminaire connait la présence Mme Selma Bakhta Mansouri, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée des Affaires africaines, les membres du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine, ainsi que les membres africains actuels, entrants et sortants du Conseil de sécurité des Nations Unies, en plus de la République coopérative du Guyana en tant que représentante de l'Amérique latine et des Caraïbes au sein du mécanisme A3+1. Y participent également la Commission de l'Union africaine, l'Organisation des Nations Unies, ainsi que les amis et partenaires de la conférence.
La 11 ème session porte sur plusieurs thèmes stratégiques d'une grande importance, notamment le renforcement de la coordination entre le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine et les trois membres africains du Conseil de sécurité (A3), afin de faire entendre la voix de l'Afrique au sein de cette instance et de défendre efficacement les positions communes du continent sur les questions liées à la paix et à la sécurité.
Parmi les sujets qui seront abordés figurent également la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent, par le renforcement des capacités intégrées des Etats africains pour relever ces défis, avec un accent particulier sur le rôle du Centre africain de lutte contre le terrorisme (AUCTC) à l'occasion de son 20 ème anniversaire.
Les participants examineront également les modalités de mise en œuvre du "Pacte pour l'avenir", adopté par l'Assemblée générale des Nations unies en septembre dernier, en particulier concernant la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies et l'application de la résolution 2719 sur le financement des opérations de soutien à la paix menées sous la direction de l'Union africaine.
L'Algérie joue dans cette session un double rôle : celui de pays hôte et initiateur de cette conférence, et celui de membre du groupe africain A3 au Conseil de sécurité pour la période 2024-2025.
Ce séminaire reflète l'engagement constant de l'Algérie à renforcer l'action africaine commune et à trouver des solutions africaines aux défis du continent. Il offre également une opportunité de consolider les efforts visant à renforcer le bloc africain au sein des instances internationales multilatérales.
Ce séminaire, institutionnalisé à travers le projet du "Processus d'Oran", constitue une plateforme stratégique pour renforcer l'action commune africaine. Il fournit une feuille de route pour les diplomaties africaines, soutenant ainsi les efforts du continent pour assurer la sécurité, la stabilité et un rôle actif dans la prise de décisions internationales.
A travers cette session, l'Algérie réaffirme son engagement à faire entendre la voix de l'Afrique sur la scène internationale et à œuvrer pour renforcer la solidarité africaine face aux défis communs, conformément à la vision des pères fondateurs en faveur de l'unité et de la prospérité du continent.
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