Ouadah appelle à Ain-Temouchent à vulgariser davantage le concept d’auto-entrepreneur
AIN-TEMOUCHENT - Le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Nouredine Ouadah, a insisté, jeudi à Aïn Temouchent, sur la nécessité de mieux vulgariser le concept d’auto-entrepreneur. Lors d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya, M. Ouadah a souligné l’importance "de faire connaitre davantage le concept d’auto-entrepreneur, nouvel acteur de l’économie nationale", précisant que "ce concept sera enseigné dans les Maisons de l’entrepreneuriat et les centres de formation professionnelle afin de permettre aux jeunes d’accéder plus rapidement à l’économie nationale et d’interagir plus aisément avec l’administration". Il a ajouté que "le mécanisme de l’auto-entrepreneur offre aux jeunes une opportunité et toutes les facilités nécessaires pour participer à l’économie nationale dans une nouvelle vision d’une économie moderne, basée sur la connaissance et la technologie". Lors de la visite de deux micro-entreprises implantées à Hassi El-Ghella, spécialisées dans la production de confiseries modernes et la broderie électronique et la couture, le ministre a rappelé que "l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat (ANADE) assure l’accompagnement et l’appui nécessaires pour élargir ce genre d’entreprises, contribuant ainsi à leur développement et à la création de nouveaux postes d'emploi". Dans la zone industrielle d’Aïn-Témouchent, M. Ouadah a inspecté une micro-entreprise spécialisée dans la transformation de l’acier et la production de fils métalliques, où il a insisté sur "l’importance d’ouvrir la formation des jeunes à ce genre d’entreprises performantes, notamment pour les universitaires, et d’accueillir des stagiaires, ce qui permettrait de développer des activités complémentaires". "Nous œuvrons à faire de ces succes-stories des exemples inspirants pour les start-up et les étudiants. Dans cette optique, il a été convenu que dans toutes les formations organisées actuellement dans les maisons de l’entrepreneuriat, que ce soit à l’université ou dans les centres de formation professionnelle, des sorties de terrain seront programmées pour permettre aux étudiants de visiter des micro-entreprises et de découvrir leurs parcours réussis", a-t-il affirmé. Le ministre a également visité le Centre de développement de l’entrepreneuriat de l’Institut national spécialisé de formation professionnelle et d’apprentissage Chahid Kouider Brini, qui a formé 37 jeunes porteurs de projets lors de trois sessions de formation, selon les explications présentées. En outre, M. Ouadah a visité l’Université Belhadj Bouchaïb d’Aïn Temouchent, où il a pris connaissance de plusieurs projets innovants et start-up hébergés par l’incubateur de l’université, qui compte 233 étudiants inscrits cette année. Il a également assisté à une partie d’une session de formation organisée au Centre de développement de l’entrepreneuriat de cet établissement d’enseignement supérieur. Le ministre a achevé sa visite par une rencontre avec des gérants de start-up et des micro-entreprises, ainsi que des porteurs de projets réaffirmant que "l’Etat a mis en place le cadre juridique nécessaire pour accompagner ce type d’entreprises dans une démarche visant à diversifier l’économie nationale".
AIN-TEMOUCHENT - Le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Nouredine Ouadah, a insisté, jeudi à Aïn Temouchent, sur la nécessité de mieux vulgariser le concept d’auto-entrepreneur.
Lors d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya, M. Ouadah a souligné l’importance "de faire connaitre davantage le concept d’auto-entrepreneur, nouvel acteur de l’économie nationale", précisant que "ce concept sera enseigné dans les Maisons de l’entrepreneuriat et les centres de formation professionnelle afin de permettre aux jeunes d’accéder plus rapidement à l’économie nationale et d’interagir plus aisément avec l’administration".
Il a ajouté que "le mécanisme de l’auto-entrepreneur offre aux jeunes une opportunité et toutes les facilités nécessaires pour participer à l’économie nationale dans une nouvelle vision d’une économie moderne, basée sur la connaissance et la technologie".
Lors de la visite de deux micro-entreprises implantées à Hassi El-Ghella, spécialisées dans la production de confiseries modernes et la broderie électronique et la couture, le ministre a rappelé que "l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat (ANADE) assure l’accompagnement et l’appui nécessaires pour élargir ce genre d’entreprises, contribuant ainsi à leur développement et à la création de nouveaux postes d'emploi".
Dans la zone industrielle d’Aïn-Témouchent, M. Ouadah a inspecté une micro-entreprise spécialisée dans la transformation de l’acier et la production de fils métalliques, où il a insisté sur "l’importance d’ouvrir la formation des jeunes à ce genre d’entreprises performantes, notamment pour les universitaires, et d’accueillir des stagiaires, ce qui permettrait de développer des activités complémentaires".
"Nous œuvrons à faire de ces succes-stories des exemples inspirants pour les start-up et les étudiants. Dans cette optique, il a été convenu que dans toutes les formations organisées actuellement dans les maisons de l’entrepreneuriat, que ce soit à l’université ou dans les centres de formation professionnelle, des sorties de terrain seront programmées pour permettre aux étudiants de visiter des micro-entreprises et de découvrir leurs parcours réussis", a-t-il affirmé.
Le ministre a également visité le Centre de développement de l’entrepreneuriat de l’Institut national spécialisé de formation professionnelle et d’apprentissage Chahid Kouider Brini, qui a formé 37 jeunes porteurs de projets lors de trois sessions de formation, selon les explications présentées.
En outre, M. Ouadah a visité l’Université Belhadj Bouchaïb d’Aïn Temouchent, où il a pris connaissance de plusieurs projets innovants et start-up hébergés par l’incubateur de l’université, qui compte 233 étudiants inscrits cette année. Il a également assisté à une partie d’une session de formation organisée au Centre de développement de l’entrepreneuriat de cet établissement d’enseignement supérieur.
Le ministre a achevé sa visite par une rencontre avec des gérants de start-up et des micro-entreprises, ainsi que des porteurs de projets réaffirmant que "l’Etat a mis en place le cadre juridique nécessaire pour accompagner ce type d’entreprises dans une démarche visant à diversifier l’économie nationale".
