Kaouther Adimi : une nuit au musée pour réveiller les fantômes de l’Algérie
Passer une nuit seule au milieu des toiles de Baya, pionnière de la peinture algérienne, à l’Institut du monde arabe, à Paris, a mené Kaouther Adimi bien plus loin que prévu. Dans "La joie ennemie" (éd. Stock), l’écrivaine revient sur son enfance marquée par un retour en Algérie en pleine décennie noire, les silences familiaux et les souvenirs de violence, qui resurgissent face aux œuvres de l’artiste algérienne. Invitée de Louise Dupont, elle évoque ce récit intime, mais aussi la mémoire collective d’un pays encore traversé par ses blessures.
Passer une nuit seule au milieu des toiles de Baya, pionnière de la peinture algérienne, à l’Institut du monde arabe, à Paris, a mené Kaouther Adimi bien plus loin que prévu. Dans "La joie ennemie" (éd. Stock), l’écrivaine revient sur son enfance marquée par un retour en Algérie en pleine décennie noire, les silences familiaux et les souvenirs de violence, qui resurgissent face aux œuvres de l’artiste algérienne. Invitée de Louise Dupont, elle évoque ce récit intime, mais aussi la mémoire collective d’un pays encore traversé par ses blessures.