Contribution / Quand l’héritage savant devient décor de centre commercial
Le Festival culturel international du malouf, dans sa 13e édition à Constantine, a offert un programme riche en artistes algériens et étrangers. Mais derrière les apparats et les tapis rouges, ce patrimoine savant est réduit à un divertissement consumériste. Ni la pédagogie, ni la profondeur historique, ni l’hommage aux maîtres n’ont été au rendez-vous.
Le Festival culturel international du malouf, dans sa 13e édition à Constantine, a offert un programme riche en artistes algériens et étrangers. Mais derrière les apparats et les tapis rouges, ce patrimoine savant est réduit à un divertissement consumériste. Ni la pédagogie, ni la profondeur historique, ni l’hommage aux maîtres n’ont été au rendez-vous.