La France : une dérive de plus
Les relations diplomatiques franco-algériennes, déjà fragiles, ont connu un nouvel épisode de tension après les déclarations du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, concernant l’arrestation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal. Accusé d’activités compromettant l’unité nationale, Sansal, connu pour ses critiques acerbes à l’encontre de l’Algérie est au cœur d’une tempête diplomatique, notamment les pantins […]
Les relations diplomatiques franco-algériennes, déjà fragiles, ont connu un nouvel épisode de tension après les déclarations du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, concernant l’arrestation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal.
Accusé d’activités compromettant l’unité nationale, Sansal, connu pour ses critiques acerbes à l’encontre de l’Algérie est au cœur d’une tempête diplomatique, notamment les pantins « macronistes », qui cherche continuellement à nuire à l’image d’une Algérie qui a arraché une place enviable dans le monde diplomatique et ce grâce à la politique ingénieuse du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Le 27 novembre, lors d’une intervention sur la chaîne de télévision publique France Info, Jean-Noël Barrot petit-fils du résistant démocrate-chrétien, (extremiste) a décrié la « détention sans fondement » de Sansal, affirmant qu’il n’existe « rien dans les activités de Boualem Sansal qui justifie les accusations portées contre lui ». Cette déclaration a immédiatement suscité la colère d’Alger, qui perçoit cette ingérence comme une atteinte à la souveraineté nationale.
La France n’a ni l’autorité ni le droit de s’immiscer dans les affaires et les questions relatives à la sécurité internes de l’Algérie et devrait s’occuper plutôt des problèmes sociaux qui gangrènent l’hexagone et sa politique étrangère critiquée de par le monde particulièrement en Afrique et en Asie.
Il faut savoir que l’écrivain Boualem Sansal, « roulant » pour des lobbies obscures est impliqué dans des activités nuisibles à la cohésion du pays, et soulignent son rôle présumé dans la promotion de discours de la haine vers l’Algérie alignés sur des intérêts étrangers hostiles.
Les déclarations de Jean-Noël Barrot représentent une nouvelle illustration de la haine que vouent à l’Algérie la France.
L’écrivain, souvent soutenu par des milieux politiques français critiques de l’Algérie, notamment la droite et l’extrême-droite est perçu par ces derniers comme un défenseur de la liberté d’expression. Une liberté admise par une France qui n’a aucun souci de voir les agissements de cet écrivain nuire à l’Algérie, ne dit-on pas « La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres »
Toutefois, en Algérie, sa parole est fortement critiquée et est surtout nuisible et jugée dénigrante. D’autant plus que d’aucun savent que ses interventions servent des agendas politiques étrangers. Face à cet échange acrimonieux, les relations entre Paris et Alger pourraient connaître des complications accrues, notamment sur des sujets de coopération bilatérale.
Chaque partie semble camper sur ses positions, Paris invoquant les principes de liberté d’expression, tandis qu’Alger insiste sur le respect de son système judiciaire et de sa souveraineté. Ce nouvel incident s’inscrit dans une série de désaccords persistants qui entravent le réchauffement des relations entre les deux pays.
Chaque altercation diplomatique remet en lumière la complexité des liens franco-algériens.
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