L'association internationale de sociologie suspend l'adhésion de la société de sociologie de l'entité sioniste
MADRID - L'association internationale de sociologie (AIS) a décidé de suspendre l'adhésion de la société de sociologie de l'entité sioniste, en solidarité avec le peuple palestinien, a-t-elle indiqué dans une déclaration publiée par des médias palestiniens. L'AIS affirme que dans le cadre de sa position publique contre le génocide des Palestiniens à Ghaza, elle n'entretient aucune relation institutionnelle avec les institutions publiques sionistes. Regrettant que la société sioniste de sociologie n'ait "pas pris clairement position pour condamner la situation dramatique à Ghaza" et "compte tenu de l'extrême gravité de la situation actuelle", le comité exécutif de l'AIS a décidé de "suspendre l'adhésion collective de la société sioniste de sociologie (ISS)". L'agression sioniste en cours contre Ghaza depuis octobre 2023 a fait jusqu'à présent près de 60.000 martyrs, plus de 130.000 blessés et des milliers d'autres victimes disparues sous les décombres. Depuis plusieurs mois, des experts de l'ONU et des ONG de défense des droits de l'homme alertent sur la situation catastrophique à Ghaza et accusent l'occupation sioniste de commettre un crime d'extermination et des actes de génocide dans l'enclave palestinienne. En plus de l'agression militaire, l'entité sioniste a imposé début mars au territoire un blocus humanitaire qui a entraîné de très graves pénuries de nourriture, médicaments et autres biens de première nécessité. Le blocus n'a été que partiellement assoupli fin mai en confiant la distribution de l'aide à la prétendue "Fondation humanitaire de Ghaza" (GHF). L'ONU et des ONG humanitaires refusent de travailler avec la GHF, organisation au financement opaque en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité. D'ailleurs, depuis que la GHF a commencé ses distributions fin mai, 549 palestiniens sont tombés en martyrs et plus de 4.000 autres ont blessés en tentant d'atteindre les points de distribution des aides à Ghaza, selon le dernier bilan des autorités sanitaires palestiniennes.

MADRID - L'association internationale de sociologie (AIS) a décidé de suspendre l'adhésion de la société de sociologie de l'entité sioniste, en solidarité avec le peuple palestinien, a-t-elle indiqué dans une déclaration publiée par des médias palestiniens.
L'AIS affirme que dans le cadre de sa position publique contre le génocide des Palestiniens à Ghaza, elle n'entretient aucune relation institutionnelle avec les institutions publiques sionistes.
Regrettant que la société sioniste de sociologie n'ait "pas pris clairement position pour condamner la situation dramatique à Ghaza" et "compte tenu de l'extrême gravité de la situation actuelle", le comité exécutif de l'AIS a décidé de "suspendre l'adhésion collective de la société sioniste de sociologie (ISS)".
L'agression sioniste en cours contre Ghaza depuis octobre 2023 a fait jusqu'à présent près de 60.000 martyrs, plus de 130.000 blessés et des milliers d'autres victimes disparues sous les décombres.
Depuis plusieurs mois, des experts de l'ONU et des ONG de défense des droits de l'homme alertent sur la situation catastrophique à Ghaza et accusent l'occupation sioniste de commettre un crime d'extermination et des actes de génocide dans l'enclave palestinienne.
En plus de l'agression militaire, l'entité sioniste a imposé début mars au territoire un blocus humanitaire qui a entraîné de très graves pénuries de nourriture, médicaments et autres biens de première nécessité. Le blocus n'a été que partiellement assoupli fin mai en confiant la distribution de l'aide à la prétendue "Fondation humanitaire de Ghaza" (GHF).
L'ONU et des ONG humanitaires refusent de travailler avec la GHF, organisation au financement opaque en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité.
D'ailleurs, depuis que la GHF a commencé ses distributions fin mai, 549 palestiniens sont tombés en martyrs et plus de 4.000 autres ont blessés en tentant d'atteindre les points de distribution des aides à Ghaza, selon le dernier bilan des autorités sanitaires palestiniennes.