Le Doyen met fin à la traversée du désert à domicile
Après le match nul ramené du Congo, tout le monde redoutait le retour au stade du 5-Juillet qui était devenu une citadelle prenable après avoir été une muraille imprenable. N’ayant plus gagné le moindre match à domicile depuis la rencontre face au MCO le 11 octobre dernier au stade Nelson-Mandela, les Algérois ont dû enchaîner …
Après le match nul ramené du Congo, tout le monde redoutait le retour au stade du 5-Juillet qui était devenu une citadelle prenable après avoir été une muraille imprenable.
N’ayant plus gagné le moindre match à domicile depuis la rencontre face au MCO le 11 octobre dernier au stade Nelson-Mandela, les Algérois ont dû enchaîner deux semi-échecs contre l’Olympique Akbou et l’USB et une défaite cuisante contre le CRB avant de retrouver à nouveau le sens de la marche. Vaincre le signe indien devenait une obsession pour les Vert et Rouge qui devaient retrouver leur vertu qui faisait leur force lors de l’exercice précédent. Malgré l’absence des Chnaoua à cause du huis clos, les camarades de Naïdji vont dominer les débats de la tête et des épaules avec une possession avoisinant les 60% mais il aura fallu attendre l’heure de jeu pour assister à l’ouverture du score grâce au capitaine Ayoub Abdellaoui. Sofiane Bayazid doublera la mise signant ainsi la première victoire du MCA à domicile en deux mois et la deuxième depuis le début de la saison.
Soixante jours après cette victoire face aux Hamraoua, le Mouloudia goûte à nouveau aux joies du succès à la maison mettant ainsi fin à cette traversée du désert qui faisait désordre dans la maison mouloudéenne. Cette série noire prend fin en Ligue des champions ce qui est crucial surtout que le MCA recevra la semaine prochaine Al Hilal du Soudan toujours dans la plus grande enceinte du pays avec cette ambition de réaliser la passe de deux qui pourrait lui ouvrir les portes des quarts de finale. Sachant que pour partir à la reconquête de l’Afrique, cela ne pourra se faire sans cette souveraineté retrouvée, tant à la maison que dans ce stade qui a forgé l’histoire du Doyen.
N. L.
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