Le roman bientôt les vivants, d’Amina Damerdji présenté à l’institut français de Constantine : Faire jaillir l’espoir des cendres du désespoir
«Le sang. Reprend racine. Oui, nous avions tout oublié. Mais notre terre. En enfance tombée. Sa vieille ardeur se rallume. Et même fusillés, les hommes s’arrachent la terre. Et même fusillés, ils tirent la terre à eux comme une couverture. Et bientôt les vivants n’auront plus où dormir.»
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