L'OCI condamne le ciblage par l'occupant sioniste du personnel médical et humanitaire à Ghaza
DJEDDAH (Arabie saoudite) - L'Organisation de la coopération islamique (OCI) a condamné "dans les termes les plus forts" les crimes commis par les forces d'occupation sionistes contre les travailleurs humanitaires et le personnel médical dans la bande de Ghaza, y voyant une "violation flagrante" du droit international humanitaire et des Conventions de Genève. L'organisation a déclaré dans un communiqué publié dimanche que "le ciblage systématique et délibéré du personnel médical, humanitaire et des Nations unies ainsi que des civils palestiniens par les forces d'occupation constitue une violation flagrante du droit international humanitaire et des Conventions de Genève". L'OCI a appelé à "la formation d'une commission d'enquête internationale indépendante sous la supervision du Conseil de sécurité de l'ONU pour enquêter sur ce crime et sur tous les crimes commis par l'occupation (sioniste) contre le peuple palestinien". Elle a souligné "la nécessité pour les pays de prendre toutes les mesures politiques, économiques et juridiques possibles contre la puissance occupante, pour l'obliger à mettre en œuvre un cessez-le-feu immédiat et complet et à permettre l'entrée de l'aide humanitaire d'urgence dans la bande de Ghaza", ravagée par une agression génocidaire sioniste depuis octobre 2023. L'organisation a renouvelé son appel à tous les Etats pour qu'"ils mettent en œuvre les ordonnances de la Cour internationale de justice (CIJ) et de la Cour pénale internationale (CPI) afin d'accélérer leurs enquêtes sur les crimes de guerre et le génocide commis par l'occupation contre le peuple palestinien, et d'activer les mécanismes de justice internationale pour garantir la poursuite et la punition des auteurs (de ces atrocités) et mettre fin à l'impunité", selon le communiqué. L'occupant sioniste a commis le 23 mars un massacre, tuant 15 travailleurs humanitaires : huit ambulanciers de la Société du Croissant-Rouge palestinien, six ambulanciers de la Défense civile et un employé de l'ONU, alors qu'ils accomplissaient leur mission de sauvetage des victimes d'une attaque militaire sioniste dans la ville de Rafah, dans le sud de Ghaza, rappelle-t-on. Les forces d'occupation sionistes ont repris leur agression sauvage le 18 mars contre la bande de Ghaza après une interruption de plus de deux mois, consécutive à un accord de cessez-le-feu, faisant plus de 1.309 martyrs et 3.184 blessés, tandis que le bilan des attaques barbares contre l'enclave palestinienne s'élève à 50.669 martyrs et 115.225 blessés, depuis le 7 octobre 2023.


DJEDDAH (Arabie saoudite) - L'Organisation de la coopération islamique (OCI) a condamné "dans les termes les plus forts" les crimes commis par les forces d'occupation sionistes contre les travailleurs humanitaires et le personnel médical dans la bande de Ghaza, y voyant une "violation flagrante" du droit international humanitaire et des Conventions de Genève.
L'organisation a déclaré dans un communiqué publié dimanche que "le ciblage systématique et délibéré du personnel médical, humanitaire et des Nations unies ainsi que des civils palestiniens par les forces d'occupation constitue une violation flagrante du droit international humanitaire et des Conventions de Genève".
L'OCI a appelé à "la formation d'une commission d'enquête internationale indépendante sous la supervision du Conseil de sécurité de l'ONU pour enquêter sur ce crime et sur tous les crimes commis par l'occupation (sioniste) contre le peuple palestinien".
Elle a souligné "la nécessité pour les pays de prendre toutes les mesures politiques, économiques et juridiques possibles contre la puissance occupante, pour l'obliger à mettre en œuvre un cessez-le-feu immédiat et complet et à permettre l'entrée de l'aide humanitaire d'urgence dans la bande de Ghaza", ravagée par une agression génocidaire sioniste depuis octobre 2023.
L'organisation a renouvelé son appel à tous les Etats pour qu'"ils mettent en œuvre les ordonnances de la Cour internationale de justice (CIJ) et de la Cour pénale internationale (CPI) afin d'accélérer leurs enquêtes sur les crimes de guerre et le génocide commis par l'occupation contre le peuple palestinien, et d'activer les mécanismes de justice internationale pour garantir la poursuite et la punition des auteurs (de ces atrocités) et mettre fin à l'impunité", selon le communiqué.
L'occupant sioniste a commis le 23 mars un massacre, tuant 15 travailleurs humanitaires : huit ambulanciers de la Société du Croissant-Rouge palestinien, six ambulanciers de la Défense civile et un employé de l'ONU, alors qu'ils accomplissaient leur mission de sauvetage des victimes d'une attaque militaire sioniste dans la ville de Rafah, dans le sud de Ghaza, rappelle-t-on.
Les forces d'occupation sionistes ont repris leur agression sauvage le 18 mars contre la bande de Ghaza après une interruption de plus de deux mois, consécutive à un accord de cessez-le-feu, faisant plus de 1.309 martyrs et 3.184 blessés, tandis que le bilan des attaques barbares contre l'enclave palestinienne s'élève à 50.669 martyrs et 115.225 blessés, depuis le 7 octobre 2023.