Merili et Belkacemi ménagés contre la JSEB

Les deux joueurs, déjà éloignés des terrains depuis de nombreuses semaines, sont plus que jamais proches d’un retour. Ayant reçu le feu vert du médecin pour réintégrer le groupe, Nabil Maâloul a préféré les ménager hier et ne les a pas utilisés contre la JS El-Biar lors du match amical joué au stade Omar-Hamadi. Contrairement à ceux qui ont participé à cette rencontre, le meilleur buteur du club de la saison passée et le milieu de terrain se sont contentés, une nouvelle fois, d’une séance d’entraînement dirigée par le préparateur physique dont le but était d’améliorer encore plus leur forme après toute cette durée d’arrêt. Ayant bien répondu à la charge de travail, ils devraient être prêts pour la reprise de la compétition officielle prévue la semaine prochaine lorsque leur équipe ira à Tizi-Ouzou défier la JS Kabylie au stade Hocine-Aït Ahmed à l’occasion de la 8e journée de la Ligue 1. Un retour qui devrait offrir plus de choix à l’ancien sélectionneur des Aigles de Carthage qui s’est plaint récemment des nombreuses absences dues aux diverses blessures. Des absences qui l’ont obligé, à chaque fois, à revoir sa copie et même accorder du temps de jeu à des joueurs n’ayant pas fait partie de ses plans auparavant à l’image de Bousseliou ou encore Aït El-Hadj et Embarek.

Si tout se déroule comme prévu, c’est cette semaine qu’Ismaïl Belkacemi et Islam Merili se joindront une nouvelle fois à leurs coéquipiers. Selon un communiqué rendu public sur la page officielle du club, sur Facebook, c’est aujourd’hui ou au plus tard demain qu’ils reprendront l’entraînement collectif. Maintenant qu’ils sont une nouvelle fois bons pour le service, Merili et Belkacemi viseront une place dans le onze de Maâloul face à la JSK. Une mission qu’ils espèrent réussir, eux qui ont une grande envie d’aider leurs partenaires à renouer avec le succès après le dernier match nul concédé au stade Mohamed-Boumezrag contre l’ASO Chlef. Une partie qui, rappelons-le, s’est achevée sur un score vierge de zéro partout. La présence d’un élément comme Belkacemi ou encore Merili aurait bien pu changer le cours de cette confrontation lors de laquelle Sékou Gassama a raté, à lui seul, deux occasions nettes de marquer.