Plaidoyer pour un biopic sur Issiakhem
Le 1er décembre prochain, nous célébrerons le quarantième anniversaire de la disparition de M’hamed Issiakhem, cet artiste écorché-vif qui a marqué d’une empreinte indélébile la culture et l’art algériens. Compagnon de route de Kateb Yacine et ce depuis les années 1950 à Paris, ayant fait avec l’auteur de Nedjma les quatre cents coups et même davantage, la vie d’Issiakhem est solidement liée aux trois premières décennies de l’Algérie indépendante.
Le 1er décembre prochain, nous célébrerons le quarantième anniversaire de la disparition de M’hamed Issiakhem, cet artiste écorché-vif qui a marqué d’une empreinte indélébile la culture et l’art algériens. Compagnon de route de Kateb Yacine et ce depuis les années 1950 à Paris, ayant fait avec l’auteur de Nedjma les quatre cents coups et même davantage, la vie d’Issiakhem est solidement liée aux trois premières décennies de l’Algérie indépendante.