Ghaza : le bilan de l'agression génocidaire sioniste grimpe à 53.822 martyrs et 122.382 blessés
GHAZA - Le bilan de l'agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza a grimpé à 53.822 martyrs et 122.382 blessés, depuis le 7 octobre 2023, ont indiqué vendredi les autorités sanitaires palestiniennes. Selon la même source, les corps de 60 martyrs et 185 blessés sont arrivés dans les hôpitaux de Ghaza au cours des dernières 24 heures, ajoutant que ces statistiques n'incluent pas les hôpitaux du nord de l'enclave en raison des difficultés d'accès. Les autorités sanitaires palestiniennes ont indiqué que 3.673 Palestiniens sont tombés en martyrs et 10.341 autres ont été blessés depuis le 18 mars, date de la reprise de l'agression sioniste, notant que les corps de nombreuses victimes se trouvent encore sous les décombres. Un accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 19 janvier à Ghaza après plus de 15 mois d'agression génocidaire sioniste, qui ont provoqué une catastrophe humanitaire sans précédent. Les forces d'occupation ont repris le 18 mars leur agression contre la bande de Ghaza, après une interruption de deux mois, consécutive à l'accord de cessez-le-feu.
GHAZA - Le bilan de l'agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza a grimpé à 53.822 martyrs et 122.382 blessés, depuis le 7 octobre 2023, ont indiqué vendredi les autorités sanitaires palestiniennes.
Selon la même source, les corps de 60 martyrs et 185 blessés sont arrivés dans les hôpitaux de Ghaza au cours des dernières 24 heures, ajoutant que ces statistiques n'incluent pas les hôpitaux du nord de l'enclave en raison des difficultés d'accès.
Les autorités sanitaires palestiniennes ont indiqué que 3.673 Palestiniens sont tombés en martyrs et 10.341 autres ont été blessés depuis le 18 mars, date de la reprise de l'agression sioniste, notant que les corps de nombreuses victimes se trouvent encore sous les décombres.
Un accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 19 janvier à Ghaza après plus de 15 mois d'agression génocidaire sioniste, qui ont provoqué une catastrophe humanitaire sans précédent. Les forces d'occupation ont repris le 18 mars leur agression contre la bande de Ghaza, après une interruption de deux mois, consécutive à l'accord de cessez-le-feu.
