L'intérêt porté à la Mémoire nationale et à sa sécurité est un devoir national sacré

ALGER - Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga a affirmé, lundi à Alger, que l'intérêt porté à la Mémoire nationale et à sa sécurité notamment face à toutes les menaces, constitue un "devoir national sacré". Dans une allocution lors de l'ouverture d'un colloque national intitulé "De la sécurité de la Mémoire nationale à l'immunité de la nation souveraine", M. Rebiga a précisé que l'intérêt porté à la Mémoire nationale sous tous ses aspects, et particulièrement à sa sécurité face à toutes les menaces, est "un devoir national sacré", assurant que cette question "demeurera en tête des préoccupations de l'Etat pour prémunir la personnalité et l'identité nationales et rester fidèles au serment des Chouhada de la glorieuse Révolution du 1er novembre 1954". Pour le ministre, les messages du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune "ont toujours été, notamment lors des occasions historiques, des haltes pour réaffirmer l'intérêt porté par l'Etat à la question mémorielle, qui repose sur le rôle de la responsabilité nationale dans la préservation du legs des générations, et découle de la fierté de la nation pour son passé glorieux et les sacrifices du peuple algérien à travers l'histoire, ancienne et moderne, de l'Algérie, pour repousser les convoitises et contrer les complots des ennemis et des haineux qui n'ont pas cessé de transmettre leur volonté de nuire à l'unité et aux acquis de l'Algérie. Leurs descendants continuent, jusqu'à ce jour, de s'enliser dans les tentatives de déstabilisation ciblant notre pays", a-t-il dit. Pour M. Rebiga, les campagnes malveillantes basées sur la provocation, la désinformation médiatique et la propagande noire contre l'Algérie – son histoire, sa mémoire, son peuple et son Etat – "ne sont qu'une preuve de l'incapacité d'accepter le développement, la croissance et les réalisations pionnières dans divers domaines". "La fidélité au serment fait aux Chouhada, en défendant la mémoire pour préserver l'histoire, est ce qui fait que l'Algérie plaide aujourd'hui, haut et fort, dans les fora internationaux, en faveur des droits des peuples opprimés, notamment pour soutenir la cause palestinienne", a indiqué le ministre. M. Rebiga a également souligné que la sécurisation et la transmission de la mémoire aux jeunes constituent "une garantie pour renforcer l'immunité de la nation et protéger les jeunes contre les formes de désinformation numérique et de manipulation médiatique".

Jan 20, 2025 - 19:20
 0
L'intérêt porté à la Mémoire nationale et à sa sécurité est un devoir national sacré
L'intérêt porté à la Mémoire nationale et à sa sécurité est un devoir national sacré

ALGER - Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga a affirmé, lundi à Alger, que l'intérêt porté à la Mémoire nationale et à sa sécurité notamment face à toutes les menaces, constitue un "devoir national sacré".

Dans une allocution lors de l'ouverture d'un colloque national intitulé "De la sécurité de la Mémoire nationale à l'immunité de la nation souveraine", M. Rebiga a précisé que l'intérêt porté à la Mémoire nationale sous tous ses aspects, et particulièrement à sa sécurité face à toutes les menaces, est "un devoir national sacré", assurant que cette question "demeurera en tête des préoccupations de l'Etat pour prémunir la personnalité et l'identité nationales et rester fidèles au serment des Chouhada de la glorieuse Révolution du 1er novembre 1954".

Pour le ministre, les messages du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune "ont toujours été, notamment lors des occasions historiques, des haltes pour réaffirmer l'intérêt porté par l'Etat à la question mémorielle, qui repose sur le rôle de la responsabilité nationale dans la préservation du legs des générations, et découle de la fierté de la nation pour son passé glorieux et les sacrifices du peuple algérien à travers l'histoire, ancienne et moderne, de l'Algérie, pour repousser les convoitises et contrer les complots des ennemis et des haineux qui n'ont pas cessé de transmettre leur volonté de nuire à l'unité et aux acquis de l'Algérie. Leurs descendants continuent, jusqu'à ce jour, de s'enliser dans les tentatives de déstabilisation ciblant notre pays", a-t-il dit.

Pour M. Rebiga, les campagnes malveillantes basées sur la provocation, la désinformation médiatique et la propagande noire contre l'Algérie – son histoire, sa mémoire, son peuple et son Etat – "ne sont qu'une preuve de l'incapacité d'accepter le développement, la croissance et les réalisations pionnières dans divers domaines".

"La fidélité au serment fait aux Chouhada, en défendant la mémoire pour préserver l'histoire, est ce qui fait que l'Algérie plaide aujourd'hui, haut et fort, dans les fora internationaux, en faveur des droits des peuples opprimés, notamment pour soutenir la cause palestinienne", a indiqué le ministre.

M. Rebiga a également souligné que la sécurisation et la transmission de la mémoire aux jeunes constituent "une garantie pour renforcer l'immunité de la nation et protéger les jeunes contre les formes de désinformation numérique et de manipulation médiatique".