Voyage : les raisons de choisir l’Algérie en 2025, selon Bloomberg
L’Algérie figure dans une nouvelle sélection de destinations touristiques mondiales à découvrir en 2025. La liste comprend des destinations nouvellement ouvertes au tourisme international, ainsi que celles ayant connu des investissements massifs dans les infrastructures. Après le guide de voyages Petit Futé qui a récemment placé l’Algérie dans une sélection de 15 destinations à visiter […] The post Voyage : les raisons de choisir l’Algérie en 2025, selon Bloomberg appeared first on Visas & Voyages Algérie.
L’Algérie figure dans une nouvelle sélection de destinations touristiques mondiales à découvrir en 2025. La liste comprend des destinations nouvellement ouvertes au tourisme international, ainsi que celles ayant connu des investissements massifs dans les infrastructures.
Après le guide de voyages Petit Futé qui a récemment placé l’Algérie dans une sélection de 15 destinations à visiter en 2025, c’est au tour du célèbre média américain Bloomberg d’inclure cette destination dans sa sélection pour l’année prochaine.
« Comment trouver des destinations qui offrent de nouvelles tentations aux explorateurs ambitieux ? » Telle est la question posée par le média Bloomberg pour dénicher les meilleures destinations au monde à découvrir l’année prochaine.
« Aujourd’hui, l’Algérie est stable »
La liste comprend notamment des endroits qui n’ont pas été totalement ouverts au tourisme depuis des décennies, mais qui commencent lentement à l’accueillir comme une opportunité économique et culturelle.
La sélection comprend également des villes très connues comme Rome, Bangkok, Londres et New York, qui bénéficient toutes d’investissements massifs dans les infrastructures et de l’ouverture de grands restaurants et d’hôtels de luxe attendus depuis longtemps.
L’Algérie, placée en tête de liste des 25 destinations au monde qui offre aux visiteurs quelque chose de nouveau, est sélectionnée par Bloomberg par rapport à sa récente ouverture au tourisme mondial.
Le média estime que ce n’est pas un hasard si les voyageurs ne connaissent pas grand-chose sur ce pays. Il rappelle en effet que cela est dû à deux chapitres particulièrement difficiles de son histoire : la Guerre de libération nationale et la décennie noire des années 90.
« Visiter l’Algérie avant qu’elle ne soit totalement envahie par les touristes est un privilège rare »
Mais « aujourd’hui, l’Algérie est stable », souligne le média américain, expliquant que le gouvernement a mis en place un programme de visa à l’arrivée (pour le sud du pays), « première étape vers la mise en place d’une véritable économie du tourisme ».
Le pays s’est fixé l’objectif d’accueillir 12 millions de visiteurs par an d’ici l’année 2030. De ce fait, Bloomberg estime que « visiter l’Algérie aujourd’hui, avant qu’elle ne soit totalement prête à être mise en lumière, est un privilège rare ».
Plus important : un voyage en Algérie ne déçoit jamais. Il permet aux visiteurs d’admirer des panoramas exceptionnels, notamment au Sahara et de découvrir une culture vibrante qui ne s’intéresse pratiquement pas au regard des Occidentaux, énumère la même source.
La visite du plus vaste pays d’Afrique peut commencer à Alger (Musée national des beaux-arts, Mémorial des martyrs …), pour ensuite déboucher sur Constantine, où sept ponts sont suspendus au-dessus des larges gorges du Rummel.
Voici les périodes idéales pour visiter l’Algérie selon Bloomberg
Le visiteur peut aussi découvrir la colonie romaine de Cuicul (dans la localité de Djémila, à Sétif), autrefois prospère et qui est aujourd’hui un assortiment vertigineux de ruines romaines étonnamment préservées.
Partout dans le monde, ce genre de sites historiques sont généralement barricadés de barrières « pour protéger les vestiges des hordes de touristes ». Mais en Algérie, « vous aurez presque tout pour vous. Pour l’instant (c’est-à-dire, avant l’arrivée du tourisme de masse) », souligne encore Bloomberg.
Pour les périodes de voyages idéales en Algérie, le média préconise les mois de septembre et d’octobre qui offrent une gamme complète d’expériences, sans les grandes chaleurs du désert de l’été. Les mois du printemps, avril et mai notamment, offrent aussi les mêmes avantages.
Toutefois, il conseille de ne pas s’y rendre au mois de mars de l’année prochaine, « où le ramadan paralyse la vie locale ». Il déconseille aussi les mois de juillet et d’août, où les températures sahariennes peuvent dépasser les 40°C.
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