Iran: Téhéran déterminé à poursuivre sans relâche sa riposte face aux agressions sionistes
ALGER - L'Iran a affiché sa détermination à répondre "par tous les moyens nécessaires" aux agressions de l'entité sioniste, dénonçant les attaques lâches menées par celle-ci contre le pays notamment l'assassinat de civils, de scientifiques et de responsables militaires iraniens ainsi que le ciblage lundi soir de la télévision iranienne. Dans le cadre de son opération de représailles, les Gardiens de la Révolution, ont affirmé, au cinquième jour de l'agression sioniste mardi, avoir notamment ciblé un centre du Mossad, le service de renseignement extérieur sioniste. Dans la nuit, l'armée iranienne a affirmé avoir détruit des "cibles stratégiques" sionistes à l'aide de drones. "Des attaques massives de drones, utilisant des armes nouvelles et avancées, ont commencé et s'intensifieront dans les heures à venir", a averti le général Kioumars Heidari, commandant des forces terrestres de l'armée, cité par la télévision iranienne. Ces répliques interviennent peu après les frappes sionistes contre le siège de la télévision iranienne lundi à Téhéran qui ont fait au moins trois martyrs et plusieurs blessés parmi les employés du média. Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a fustigé la "lâcheté" de ces attaques. "Cette attaque illustre le comble de la lâcheté: ils (les sionistes) ne peuvent remporter de véritable bataille et s'en prennent à un bâtiment civil qui ne dit que la vérité", a déclaré Abbas Araghchi à la télévision. Face à ces agressions, le ministre iranien des Affaires étrangères a affirmé, que les Iraniens combattront l'entité sioniste "jusqu'à la dernière goutte de sang" pour protéger leur pays et leur dignité rappelant que c'est l'entité sioniste qui a débuté la guerre. Dans le même sens, le président iranien, Massoud Pezeshkian, avait fait savoir auparavant que son pays répondra aux agressions de l'entité sioniste quelle que soit leur ampleur, affirmant que la réponse iranienne sera "du même niveau et fera regretter à l'agresseur ses attaques". "Nous n'avons pas été les initiateurs de la guerre, mais nous répondrons aux crimes des sionistes...", a promis le président. Dans un communiqué diffusé par les médias iraniens, le ministère iranien de la Défense a, de son côté, promis d'infliger "une sévère et exemplaire punition" à l'entité sioniste pour son agression contre l'intégrité territoriale de l'Iran. L'impératif de mettre fin aux agressions sionistes souligné L'Iran a, maintes fois, souligné qu'il "ripostera par tous les moyens nécessaires" aux agressions sionistes qu'il qualifie de "violation flagrante des chartes onusiennes" et d'"agression manifeste contre l'intégrité territoriale et la souveraineté du pays". Par ailleurs, plusieurs pays continuent de condamner les agressions sionistes lancées vendredi contre l'Iran appelant à la désescalade et au dialogue pour apaiser la tension. L'Algérie, par la voix de son ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, M. Ahmed Attaf, a réaffirmé sa position condamnant cette agression, soulignant l'impératif de permettre au Conseil de sécurité des Nations unies d'assumer les responsabilités qui lui incombent à faire respecter les règles du droit international et les principes de la Charte de l'ONU pour faire cesser les attaques sionistes sur plusieurs fronts qui ont plongé toute la région dans une spirale de violence, d'insécurité et d'instabilité, a indiqué un communiqué du ministère. La position de l'Algérie a été réaffirmée après que M. Attaf ait reçu, lundi, un appel téléphonique de son homologue iranien, M. Abbas Araghchi, qui l'a informé des développements de la situation découlant de l'agression sioniste contre la République islamique d'Iran, ainsi que des répercussions de cette agression sur la sécurité et l'intégrité de la région, selon le communiqué. De leur côté, les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays arabes et musulmans dont l'Algérie ont exprimé lundi leur rejet et leur condamnation des attaques sionistes contre l'Iran, appelant au respect de la souveraineté des Etats, de l'intégrité de leurs territoires et à la résolution des différends par des moyens pacifiques. Les ministres ont également exprimé, leur "profonde inquiétude face à cette escalade dangereuse qui menace la sécurité et la stabilité de toute la région", soulignant "la nécessité de mettre fin aux actions hostiles" de l'entité sioniste contre l'Iran, à un moment où le Moyen-Orient connaît des tensions croissantes, et "l'importance de réduire les tensions en vue d'un cessez-le-feu et d'un apaisement global". Pour sa part, la Turquie, par le biais du président turc, Recep Tayyip Erdogan, a accusé lundi l'entité sioniste de mettre en danger la sécurité de toute la région, à la suite de ses agressions contre l'Iran, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue russe, Vladimir Poutine. Les deux dirigeants se sont prononcés aussi en faveur du "règlement des différends,

ALGER - L'Iran a affiché sa détermination à répondre "par tous les moyens nécessaires" aux agressions de l'entité sioniste, dénonçant les attaques lâches menées par celle-ci contre le pays notamment l'assassinat de civils, de scientifiques et de responsables militaires iraniens ainsi que le ciblage lundi soir de la télévision iranienne.
Dans le cadre de son opération de représailles, les Gardiens de la Révolution, ont affirmé, au cinquième jour de l'agression sioniste mardi, avoir notamment ciblé un centre du Mossad, le service de renseignement extérieur sioniste.
Dans la nuit, l'armée iranienne a affirmé avoir détruit des "cibles stratégiques" sionistes à l'aide de drones. "Des attaques massives de drones, utilisant des armes nouvelles et avancées, ont commencé et s'intensifieront dans les heures à venir", a averti le général Kioumars Heidari, commandant des forces terrestres de l'armée, cité par la télévision iranienne.
Ces répliques interviennent peu après les frappes sionistes contre le siège de la télévision iranienne lundi à Téhéran qui ont fait au moins trois martyrs et plusieurs blessés parmi les employés du média. Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a fustigé la "lâcheté" de ces attaques.
"Cette attaque illustre le comble de la lâcheté: ils (les sionistes) ne peuvent remporter de véritable bataille et s'en prennent à un bâtiment civil qui ne dit que la vérité", a déclaré Abbas Araghchi à la télévision.
Face à ces agressions, le ministre iranien des Affaires étrangères a affirmé, que les Iraniens combattront l'entité sioniste "jusqu'à la dernière goutte de sang" pour protéger leur pays et leur dignité rappelant que c'est l'entité sioniste qui a débuté la guerre.
Dans le même sens, le président iranien, Massoud Pezeshkian, avait fait savoir auparavant que son pays répondra aux agressions de l'entité sioniste quelle que soit leur ampleur, affirmant que la réponse iranienne sera "du même niveau et fera regretter à l'agresseur ses attaques".
"Nous n'avons pas été les initiateurs de la guerre, mais nous répondrons aux crimes des sionistes...", a promis le président.
Dans un communiqué diffusé par les médias iraniens, le ministère iranien de la Défense a, de son côté, promis d'infliger "une sévère et exemplaire punition" à l'entité sioniste pour son agression contre l'intégrité territoriale de l'Iran.
L'impératif de mettre fin aux agressions sionistes souligné
L'Iran a, maintes fois, souligné qu'il "ripostera par tous les moyens nécessaires" aux agressions sionistes qu'il qualifie de "violation flagrante des chartes onusiennes" et d'"agression manifeste contre l'intégrité territoriale et la souveraineté du pays".
Par ailleurs, plusieurs pays continuent de condamner les agressions sionistes lancées vendredi contre l'Iran appelant à la désescalade et au dialogue pour apaiser la tension.
L'Algérie, par la voix de son ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines, M. Ahmed Attaf, a réaffirmé sa position condamnant cette agression, soulignant l'impératif de permettre au Conseil de sécurité des Nations unies d'assumer les responsabilités qui lui incombent à faire respecter les règles du droit international et les principes de la Charte de l'ONU pour faire cesser les attaques sionistes sur plusieurs fronts qui ont plongé toute la région dans une spirale de violence, d'insécurité et d'instabilité, a indiqué un communiqué du ministère.
La position de l'Algérie a été réaffirmée après que M. Attaf ait reçu, lundi, un appel téléphonique de son homologue iranien, M. Abbas Araghchi, qui l'a informé des développements de la situation découlant de l'agression sioniste contre la République islamique d'Iran, ainsi que des répercussions de cette agression sur la sécurité et l'intégrité de la région, selon le communiqué.
De leur côté, les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays arabes et musulmans dont l'Algérie ont exprimé lundi leur rejet et leur condamnation des attaques sionistes contre l'Iran, appelant au respect de la souveraineté des Etats, de l'intégrité de leurs territoires et à la résolution des différends par des moyens pacifiques.
Les ministres ont également exprimé, leur "profonde inquiétude face à cette escalade dangereuse qui menace la sécurité et la stabilité de toute la région", soulignant "la nécessité de mettre fin aux actions hostiles" de l'entité sioniste contre l'Iran, à un moment où le Moyen-Orient connaît des tensions croissantes, et "l'importance de réduire les tensions en vue d'un cessez-le-feu et d'un apaisement global".
Pour sa part, la Turquie, par le biais du président turc, Recep Tayyip Erdogan, a accusé lundi l'entité sioniste de mettre en danger la sécurité de toute la région, à la suite de ses agressions contre l'Iran, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue russe, Vladimir Poutine.
Les deux dirigeants se sont prononcés aussi en faveur du "règlement des différends, y compris ceux liés au programme nucléaire iranien, et ce uniquement par la voie diplomatique", a précisé le Kremlin dans son communiqué.