Reconnaître la Palestine sera "un moment clé", affirme le Premier ministre luxembourgeois
LUXEMBOURG - La reconnaissance de l'Etat de Palestine par des dizaines de pays lundi sera "un moment clé" sur le long chemin vers une paix au Proche-Orient, estime le Premier ministre luxembourgeois Luc Frieden, qui sera à New York pour apporter la voix de son pays. Le Luxembourg, avait déclaré avoir l'intention de reconnaître la Palestine, lors d'un sommet en marge de l'assemblée générale de l'ONU. Luc Frieden confirme qu'il sera lundi à New York parmi les chefs d'Etat et de gouvernement apportant ce soutien aux Palestiniens. "Je voudrais que les deux peuples gardent l'espoir de pouvoir un jour vivre en paix", déclare le dirigeant. La "Déclaration de New York", qui entend redonner du souffle à une paix bâtie sur la solution à deux Etats, est majoritairement soutenue par la communauté internationale. Pour lui, la Déclaration de New York sera "un moment clé dans ce processus, (...) un pas important dans une longue marche vers une paix et une stabilité dans la région". "Tout ce que nous faisons (...) est destiné à faire cesser les atrocités que nous voyons à Ghaza", insiste-t-il. Il y a une semaine, le texte préparé par la France et l'Arabie Saoudite a été adopté par l'Assemblée générale de l'ONU, par 142 voix pour, 10 voix contre et 12 abstentions. Luc Frieden a par ailleurs apporté son soutien aux nouvelles sanctions contre l'entité sioniste proposées cette semaine par la Commission européenne.

LUXEMBOURG - La reconnaissance de l'Etat de Palestine par des dizaines de pays lundi sera "un moment clé" sur le long chemin vers une paix au Proche-Orient, estime le Premier ministre luxembourgeois Luc Frieden, qui sera à New York pour apporter la voix de son pays.
Le Luxembourg, avait déclaré avoir l'intention de reconnaître la Palestine, lors d'un sommet en marge de l'assemblée générale de l'ONU.
Luc Frieden confirme qu'il sera lundi à New York parmi les chefs d'Etat et de gouvernement apportant ce soutien aux Palestiniens. "Je voudrais que les deux peuples gardent l'espoir de pouvoir un jour vivre en paix", déclare le dirigeant.
La "Déclaration de New York", qui entend redonner du souffle à une paix bâtie sur la solution à deux Etats, est majoritairement soutenue par la communauté internationale. Pour lui, la Déclaration de New York sera "un moment clé dans ce processus, (...) un pas important dans une longue marche vers une paix et une stabilité dans la région".
"Tout ce que nous faisons (...) est destiné à faire cesser les atrocités que nous voyons à Ghaza", insiste-t-il.
Il y a une semaine, le texte préparé par la France et l'Arabie Saoudite a été adopté par l'Assemblée générale de l'ONU, par 142 voix pour, 10 voix contre et 12 abstentions.
Luc Frieden a par ailleurs apporté son soutien aux nouvelles sanctions contre l'entité sioniste proposées cette semaine par la Commission européenne.