Lazzarini dénonce la complicité internationale dans la famine qui frappe les Palestiniens de la bande de Ghaza
GHAZA (Territoires palestiniens occupés) - L'absence de pression sur l'entité sioniste pour autoriser l'acheminement de l'aide humanitaire à Ghaza constitue ''une complicité dans la famine qui frappe les Palestiniens'' de l'enclave, a estimé dimanche le Commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), rapporte lundi l'agence Wafa. Dans une publication sur Instagram, Lazzarini a partagé un exemple de message fréquemment reçu du personnel de l'UNRWA dans la bande de Ghaza : ''Je cherche de la nourriture pour mes enfants, mais il n'y a rien'', et a commenté : '' Nous recevons quotidiennement des messages de nos collègues affamés de l'UNRWA. Comment répondre à ces messages de désespoir ? C'est honteux et cela renforce mon sentiment d'impuissance'', a-t-il ajouté. Lazzarini ajoute encore : ''tout cela est l'œuvre de l'homme, en toute impunité (dont l'entité sioniste jouit), la nourriture est disponible à quelques kilomètres seulement à la frontière avec Ghaza. A elle seule, l’UNRWA dispose de stocks suffisants hors de Ghaza pour couvrir les besoins de l’ensemble de la population pour les trois prochains mois, mais nous n’avons pas été autorisés à acheminer d’aide depuis le 2 mars'', lance t-il encore dépité par l'inaction de la communauté internationale. Pour le responsable de l'UNRWA, ''une volonté politique est nécessaire'' pour inciter l'entité sioniste ''à autoriser l’entrée de l’aide dans la bande de Ghaza.'' Pour lui, ''l’inaction est une complicité qui nous fait perdre notre humanité.'' Plus tôt dans la journée, des sources médicales à Ghaza ont annoncé que la politique sioniste de famine dans l'enclave palestinienne avait entraîné la mort de 86 Palestiniens, dont 76 enfants, en raison de la malnutrition résultant du refus d’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Ghaza depuis octobre 2023. En outre, ''18 décès ont été enregistrés en 24 heures en raison de la famine à Ghaza'', ajoutent les mêmes sources.


GHAZA (Territoires palestiniens occupés) - L'absence de pression sur l'entité sioniste pour autoriser l'acheminement de l'aide humanitaire à Ghaza constitue ''une complicité dans la famine qui frappe les Palestiniens'' de l'enclave, a estimé dimanche le Commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), rapporte lundi l'agence Wafa.
Dans une publication sur Instagram, Lazzarini a partagé un exemple de message fréquemment reçu du personnel de l'UNRWA dans la bande de Ghaza : ''Je cherche de la nourriture pour mes enfants, mais il n'y a rien'', et a commenté : '' Nous recevons quotidiennement des messages de nos collègues affamés de l'UNRWA. Comment répondre à ces messages de désespoir ? C'est honteux et cela renforce mon sentiment d'impuissance'', a-t-il ajouté.
Lazzarini ajoute encore : ''tout cela est l'œuvre de l'homme, en toute impunité (dont l'entité sioniste jouit), la nourriture est disponible à quelques kilomètres seulement à la frontière avec Ghaza. A elle seule, l’UNRWA dispose de stocks suffisants hors de Ghaza pour couvrir les besoins de l’ensemble de la population pour les trois prochains mois, mais nous n’avons pas été autorisés à acheminer d’aide depuis le 2 mars'', lance t-il encore dépité par l'inaction de la communauté internationale.
Pour le responsable de l'UNRWA, ''une volonté politique est nécessaire'' pour inciter l'entité sioniste ''à autoriser l’entrée de l’aide dans la bande de Ghaza.'' Pour lui, ''l’inaction est une complicité qui nous fait perdre notre humanité.''
Plus tôt dans la journée, des sources médicales à Ghaza ont annoncé que la politique sioniste de famine dans l'enclave palestinienne avait entraîné la mort de 86 Palestiniens, dont 76 enfants, en raison de la malnutrition résultant du refus d’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Ghaza depuis octobre 2023.
En outre, ''18 décès ont été enregistrés en 24 heures en raison de la famine à Ghaza'', ajoutent les mêmes sources.