Journalistes assassinés par l'entité sioniste à Ghaza: Amnesty réclame une enquête "indépendante et impartiale"
LONDRES - L'ONG Amnesty international a fermement condamné l'assassinat de six journalistes palestiniens par l'entité sioniste lors d’une frappe aérienne, survenue dimanche dans la ville de Ghaza, appelant à une enquête "indépendante et impartiale" sur ces meurtres. "Anas al-Sharif (l'un des journalistes les plus célèbres de la bande de Ghaza) et ses collègues ont été les yeux et la voix de Ghaza. Affamés et épuisés, ils ont continué à faire courageusement leur travail de reportage en première ligne, malgré les menaces de mort et une immense douleur", a écrit Amnesty international sur son compte sur les réseaux sociaux. Et de souligner: "Aucun conflit dans l’histoire moderne n’a vu un nombre plus élevé de journalistes tués que le génocide perpétré (par l'entité sioniste) contre les Palestiniens dans la bande de Ghaza". "Il doit y avoir une enquête indépendante et impartiale sur les assassinats de journalistes palestiniens, avec justice et réparations complètes pour leurs familles. Les Etats doivent agir de toute urgence pour mettre fin dès maintenant au génocide", a conclu l'ONG dans son message. La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a annoncé dimanche que cinq de ses journalistes sont tombés en martyrs lors d'une frappe sioniste dans la bande de Ghaza. Parmi eux, Anas al-Sharif, 28 ans, reporter bien connu de ses téléspectateurs, que l'armée sioniste a reconnu avoir ciblé. Les autres martyrs sont le correspondant Mohammed Qreiqeh, ainsi que des cameramen, Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa. Lundi, un sixième journaliste, Mohammed Al-Khaldi, a succombé à ses blessures de la veille. Il était un journaliste pigiste qui collaborait occasionnellement avec des médias locaux.

LONDRES - L'ONG Amnesty international a fermement condamné l'assassinat de six journalistes palestiniens par l'entité sioniste lors d’une frappe aérienne, survenue dimanche dans la ville de Ghaza, appelant à une enquête "indépendante et impartiale" sur ces meurtres.
"Anas al-Sharif (l'un des journalistes les plus célèbres de la bande de Ghaza) et ses collègues ont été les yeux et la voix de Ghaza.
Affamés et épuisés, ils ont continué à faire courageusement leur travail de reportage en première ligne, malgré les menaces de mort et une immense douleur", a écrit Amnesty international sur son compte sur les réseaux sociaux.
Et de souligner: "Aucun conflit dans l’histoire moderne n’a vu un nombre plus élevé de journalistes tués que le génocide perpétré (par l'entité sioniste) contre les Palestiniens dans la bande de Ghaza".
"Il doit y avoir une enquête indépendante et impartiale sur les assassinats de journalistes palestiniens, avec justice et réparations complètes pour leurs familles. Les Etats doivent agir de toute urgence pour mettre fin dès maintenant au génocide", a conclu l'ONG dans son message.
La chaîne de télévision qatarie Al Jazeera a annoncé dimanche que cinq de ses journalistes sont tombés en martyrs lors d'une frappe sioniste dans la bande de Ghaza. Parmi eux, Anas al-Sharif, 28 ans, reporter bien connu de ses téléspectateurs, que l'armée sioniste a reconnu avoir ciblé.
Les autres martyrs sont le correspondant Mohammed Qreiqeh, ainsi que des cameramen, Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa.
Lundi, un sixième journaliste, Mohammed Al-Khaldi, a succombé à ses blessures de la veille.
Il était un journaliste pigiste qui collaborait occasionnellement avec des médias locaux.