L'interdiction de l'UNRWA pourrait tuer davantage d'enfants à Ghaza, prévient l'ONU
GENEVE - La décision sioniste de bloquer les activités de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) pourrait entraîner la mort de davantage d'enfants à Ghaza et constituer une forme de punition collective pour les Palestiniens si elle est pleinement mise en œuvre, ont déclaré mardi des agences de l'ONU. "Si l'UNRWA ne parvient pas à fonctionner, le système humanitaire à Ghaza s'effondrerait", a déclaré James Elder, porte-parole de l'UNICEF, ajoutant qu'une décision comme celle-ci signifie donc, qu'"une nouvelle façon de tuer des enfants a été trouvée". Les données des autorités sanitaires palestiniennes montrent que plus de 13.300 enfants dont l'identité a été confirmée sont tombés en martyr dans le génocide sioniste en cours à Ghaza. On estime que beaucoup d'autres sont morts de maladies dues à l'effondrement du système médical et aux pénuries de nourriture et d'eau. D’autres agences des Nations Unies ont qualifié le travail de l’UNRWA d’indispensable. Tarik Jasarevic, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré qu'"environ un tiers des professionnels de santé participant à la campagne de vaccination contre la polio en cours pour les enfants de Ghaza travaillent avec l'UNRWA. Celle-ci compte environ 1.000 professionnels de santé à Ghaza". De son côté, le porte-parole du Bureau humanitaire de l'ONU, Jens Laerke, a indiqué que "cette interdiction représentait une forme de punition collective contre le Palestiniens de Ghaza". "Je pense que c'est une description juste de ce qu'ils ont décidé ici, si elle était mise en œuvre, que cela s'ajouterait aux actes de punition collective que nous avons vus imposés à Ghaza", a-t-il ajouté.
GENEVE - La décision sioniste de bloquer les activités de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) pourrait entraîner la mort de davantage d'enfants à Ghaza et constituer une forme de punition collective pour les Palestiniens si elle est pleinement mise en œuvre, ont déclaré mardi des agences de l'ONU.
"Si l'UNRWA ne parvient pas à fonctionner, le système humanitaire à Ghaza s'effondrerait", a déclaré James Elder, porte-parole de l'UNICEF, ajoutant qu'une décision comme celle-ci signifie donc, qu'"une nouvelle façon de tuer des enfants a été trouvée".
Les données des autorités sanitaires palestiniennes montrent que plus de 13.300 enfants dont l'identité a été confirmée sont tombés en martyr dans le génocide sioniste en cours à Ghaza. On estime que beaucoup d'autres sont morts de maladies dues à l'effondrement du système médical et aux pénuries de nourriture et d'eau.
D’autres agences des Nations Unies ont qualifié le travail de l’UNRWA d’indispensable.
Tarik Jasarevic, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré qu'"environ un tiers des professionnels de santé participant à la campagne de vaccination contre la polio en cours pour les enfants de Ghaza travaillent avec l'UNRWA. Celle-ci compte environ 1.000 professionnels de santé à Ghaza".
De son côté, le porte-parole du Bureau humanitaire de l'ONU, Jens Laerke, a indiqué que "cette interdiction représentait une forme de punition collective contre le Palestiniens de Ghaza". "Je pense que c'est une description juste de ce qu'ils ont décidé ici, si elle était mise en œuvre, que cela s'ajouterait aux actes de punition collective que nous avons vus imposés à Ghaza", a-t-il ajouté.
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