Agression sioniste: les familles de Ghaza peinent à nourrir leurs enfants
GHAZA - Le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), James Elder, a déclaré que les familles palestiniennes de la bande de Ghaza ont du mal à assurer un seul repas quotidien à leurs enfants, car "beaucoup plus de bombes entrent à Ghaza que de nourriture", soulignant que la situation "s'aggrave de jour en jour" dans l'enclave ravagée par un génocide sioniste depuis octobre 2023. M. Elder qui se trouve à Khan Yunis, au sud de Ghaza, dans le cadre d'une mission officielle, a affirmé que "la situation s'aggrave de jour en jour à Ghaza, à la lumière du blocus en cours et des attaques (sionistes)", décrivant la situation humanitaire dans le territoire palestinien comme "sombre, horrible et désespérée". Le porte-parole de l'UNICEF a poursuivi: "De nombreuses familles vivent dans des tentes depuis six mois, sous les tirs des chars, et sont maintenant obligées de se déplacer à nouveau", soulignant que Ghaza vit cette situation tragique depuis plus de 600 jours. Il a également souligné que les mères passent deux jours sans manger juste pour pouvoir fournir un seul repas à leurs enfants. Le porte-parole a expliqué que "la malnutrition aigue multiplie par dix le risque qu'un enfant meure de causes simples. C'est le cycle mortel qui tue les enfants: malnutrition, contamination de l'eau et manque de soins de santé de base". Dans ce contexte, il a averti que l'accès aux hôpitaux n'est plus sûr pour les enfants malades ou mal nourris, soulignant que les hôpitaux eux-mêmes manquent de fournitures médicales de base. Et de rappeler dans ce sens qu'il y a 19 hôpitaux partiellement fonctionnels à Ghaza, dont 8 hôpitaux publics et 11 hôpitaux privés, sur un total de 38. Il y a également 9 hôpitaux de campagne en activité dans l'enclave. "L'aide humanitaire pourrait ne représenter que 10 % des besoins réels de la population", a poursuivi Eldar avant d'ajouter: "Ghaza reçoit bien plus de bombes que de nourriture". Par ailleurs, le porte-parole a critiqué le nouveau système de distribution d'aide américano-sioniste actuellement imposé dans le sud de Ghaza, soulignant que "ce système entraîne des pertes quotidiennes, des enfants étant tués simplement parce qu'ils essayaient d'obtenir une boîte de nourriture".

GHAZA - Le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), James Elder, a déclaré que les familles palestiniennes de la bande de Ghaza ont du mal à assurer un seul repas quotidien à leurs enfants, car "beaucoup plus de bombes entrent à Ghaza que de nourriture", soulignant que la situation "s'aggrave de jour en jour" dans l'enclave ravagée par un génocide sioniste depuis octobre 2023.
M. Elder qui se trouve à Khan Yunis, au sud de Ghaza, dans le cadre d'une mission officielle, a affirmé que "la situation s'aggrave de jour en jour à Ghaza, à la lumière du blocus en cours et des attaques (sionistes)", décrivant la situation humanitaire dans le territoire palestinien comme "sombre, horrible et désespérée".
Le porte-parole de l'UNICEF a poursuivi: "De nombreuses familles vivent dans des tentes depuis six mois, sous les tirs des chars, et sont maintenant obligées de se déplacer à nouveau", soulignant que Ghaza vit cette situation tragique depuis plus de 600 jours. Il a également souligné que les mères passent deux jours sans manger juste pour pouvoir fournir un seul repas à leurs enfants.
Le porte-parole a expliqué que "la malnutrition aigue multiplie par dix le risque qu'un enfant meure de causes simples. C'est le cycle mortel qui tue les enfants: malnutrition, contamination de l'eau et manque de soins de santé de base".
Dans ce contexte, il a averti que l'accès aux hôpitaux n'est plus sûr pour les enfants malades ou mal nourris, soulignant que les hôpitaux eux-mêmes manquent de fournitures médicales de base. Et de rappeler dans ce sens qu'il y a 19 hôpitaux partiellement fonctionnels à Ghaza, dont 8 hôpitaux publics et 11 hôpitaux privés, sur un total de 38. Il y a également 9 hôpitaux de campagne en activité dans l'enclave.
"L'aide humanitaire pourrait ne représenter que 10 % des besoins réels de la population", a poursuivi Eldar avant d'ajouter: "Ghaza reçoit bien plus de bombes que de nourriture".
Par ailleurs, le porte-parole a critiqué le nouveau système de distribution d'aide américano-sioniste actuellement imposé dans le sud de Ghaza, soulignant que "ce système entraîne des pertes quotidiennes, des enfants étant tués simplement parce qu'ils essayaient d'obtenir une boîte de nourriture".