Cancer: l'amélioration de la prise en charge au cœur du 1er Congrès international à Alger
ALGER - L'amélioration de la prise en charge thérapeutique des patients atteints de cancer est inscrite au centre des travaux du 1er Congrès international organisé mardi à Alger, sous le slogan "La voix du patient". "La voix du patient doit être au cœur de toutes les décisions, car ses attentes et besoins sont essentiels à la politique de santé, aux programmes de recherche et aux pratiques de soins", a soutenu Mme Hamida Kettab, présidente de la Fédération algérienne des associations de patients atteints de cancer (FAAPAC), co-organisatrice du Congrès avec l'Observatoire national de la société civile (ONSC), et en partenariat avec le ministère de la Santé, soulignant que "ce Congrès est une opportunité unique pour mettre en lumière les défis et partager les meilleures pratiques". Elle a ajouté que ce rendez-vous "marquera une nouvelle et une importante étape dans le combat commun contre le cancer, afin d'assurer un avenir meilleur pour les patients", mettant l'accent sur le rôle des associations dans la construction de solutions aux défis posés. De son côté, le président de l'ONSC, Noureddine Benbraham, a mis en avant l'implication de la société civile en tant que partenaire des institutions étatiques qui élaborent les politiques publiques de santé, saluant dans le même sillage, les "réalisations importantes" de l'Etat en matière de prise en charge des cancéreux. M. Benbraham a, en outre, mis en évidence le rôle du mouvement associatif en ce qui concerne la prévention contre cette pathologie, en insistant sur les actions de sensibilisation à multiplier en direction de la société, afin d'instaurer de nouvelles habitudes alimentaires notamment. Des intervenants représentant diverses institutions et organismes étatiques ont présenté par la même occasion, les acquis réalisés en Algérie en matière de prise en charge de cette pathologie, à l'instar de la mobilisation de budgets conséquents par la Caisse nationale des Assurances sociales (CNAS), pour la prise en charge des anticancéreux. Des communicants ont abordé également divers aspects liés à cette maladie, en soulignant l'importance d'"informations validées et maîtrisées", et en préconisant de "baliser le parcours du patient et de s'appuyer sur des recommandations consensuelles et transmises à tous les intervenants". Coïncidant avec la célébration de la Journée internationale de lutte contre le cancer (4 février), cette rencontre de deux jours sera sanctionnée mercredi par le lancement officiel du Réseau africain de lutte contre le cancer, dans lequel 14 pays du continent y sont représentés.
ALGER - L'amélioration de la prise en charge thérapeutique des patients atteints de cancer est inscrite au centre des travaux du 1er Congrès international organisé mardi à Alger, sous le slogan "La voix du patient".
"La voix du patient doit être au cœur de toutes les décisions, car ses attentes et besoins sont essentiels à la politique de santé, aux programmes de recherche et aux pratiques de soins", a soutenu Mme Hamida Kettab, présidente de la Fédération algérienne des associations de patients atteints de cancer (FAAPAC), co-organisatrice du Congrès avec l'Observatoire national de la société civile (ONSC), et en partenariat avec le ministère de la Santé, soulignant que "ce Congrès est une opportunité unique pour mettre en lumière les défis et partager les meilleures pratiques".
Elle a ajouté que ce rendez-vous "marquera une nouvelle et une importante étape dans le combat commun contre le cancer, afin d'assurer un avenir meilleur pour les patients", mettant l'accent sur le rôle des associations dans la construction de solutions aux défis posés.
De son côté, le président de l'ONSC, Noureddine Benbraham, a mis en avant l'implication de la société civile en tant que partenaire des institutions étatiques qui élaborent les politiques publiques de santé, saluant dans le même sillage, les "réalisations importantes" de l'Etat en matière de prise en charge des cancéreux.
M. Benbraham a, en outre, mis en évidence le rôle du mouvement associatif en ce qui concerne la prévention contre cette pathologie, en insistant sur les actions de sensibilisation à multiplier en direction de la société, afin d'instaurer de nouvelles habitudes alimentaires notamment.
Des intervenants représentant diverses institutions et organismes étatiques ont présenté par la même occasion, les acquis réalisés en Algérie en matière de prise en charge de cette pathologie, à l'instar de la mobilisation de budgets conséquents par la Caisse nationale des Assurances sociales (CNAS), pour la prise en charge des anticancéreux.
Des communicants ont abordé également divers aspects liés à cette maladie, en soulignant l'importance d'"informations validées et maîtrisées", et en préconisant de "baliser le parcours du patient et de s'appuyer sur des recommandations consensuelles et transmises à tous les intervenants".
Coïncidant avec la célébration de la Journée internationale de lutte contre le cancer (4 février), cette rencontre de deux jours sera sanctionnée mercredi par le lancement officiel du Réseau africain de lutte contre le cancer, dans lequel 14 pays du continent y sont représentés.