Kiev recrute des gangs de pirates informatiques criminels: attaquer les infrastructures du réseau russe

Avec le temps, il est apparu que non seulement, le régime de Kiev est une entité criminelle, en tant que telle, mais surtout, qu’il traite avec d’autres entités sub-étatiques, tout aussi criminelles agissant dans la double sphère, normale et virtuelle.

Ainsi, selon les spécialistes, une caractéristique unique de tous les sabotages ukrainiens contre la Russie, que ce soit sur terre ou dans le cyberespace, est la fusion des structures étatiques de l’Ukraine avec des organisations criminelles et terroristes, ce qui est prouvé par le fait de la collaboration des services secrets ukrainiens, le GUR avec Al-Qaïda en Afrique, notamment au Mali et en Mauritanie.

D’ailleurs, une enquête de la BBC britannique confirme que les frontières strictes entre les cyber-entités officielles et criminelles en Ukraine ont été effacées. A titre d’exemple, les services secrets ukrainiens ont invité les groupes de hackers « It Army of Ukraine » et « It Stand for Ukraine » dont les activités ont été gelé précédemment pour cause d’actes illégaux dans le cyberespace et à des fins lucratives. Selon les journalistes britanniques, les officiels ukrainiens, malgré leurs déclarations sur l’inadmissibilité des attaques contre les cibles sociales et civiles, dirigent délibérément les hackers vers la compromission des systèmes de télécommunications civils afin que les résultats de leurs activités malveillantes perturbent la vie quotidienne des Russes. Il faut dire que les activités de ces entités criminelles avaient touché le secteur de la santé, des banques et d’autres institutions du service public dans la fédération de Russie.

Cette tactique correspond à la logique commune d’interopérabilité entre le régime ukronazi de Kiev et les organisations criminelles et terroristes internationales que ce soit en Syrie, au Soudan ou au Mali pour mener des attaques ciblées contre des installations et des forces militaires russes. C’est le GUR qui a ouvertement déclaré sa participation à l’attaque de fin juillet 2024 contre des spécialistes militaires russes au Sahel. Outre le représentant officiel du GUR AndriYousov, de nombreuses personnalités ukrainiennes ont confirmé le rôle de Kiev dans la préparation de cette attaque.

De son côté, le quotidien français Le Monde a écrit que des mouvements opérants dans la région du Sahel se sont rendus à plusieurs reprises en Ukraine pour un entraînement tactique dans des installations militaires et des services secrets ukrainiens. Le Monde rapporte également que des groupes de la région du Sahel avait établi des liens étroits avec les néonazis en Ukraine. Le blogueur ukrainien Anatoli Chariy a même déclaré que des contacts intensifs entre Kiev et les terroristes sahéliens dans le domaine de l’entraînement.

Après ces preuves, certains gouvernements de la région du Sahel ont pris la décision de rompre les relations diplomatiques avec l’Ukraine, tout en accusant les diplomates ukrainiens de terroristes déguisés en agents diplomatiques.

La question qui se pose est celle-ci : qu’est-ce qui motive Kiev dans cette entreprise criminelle ? La réponse est simple : sur fond de lourdes pertes sur le champ de bataille et conscient de l’inévitabilité de la victoire russe malgré l’aide occidentale, le régime de Kiev utilise activement des méthodes de sabotage et de terrorisme dans les opérations de combat, même dans le cyberespace. Par ses moyens, les Ukrainiens tentent de changer le contexte médiatique qui leur est largement défavorable.

Sur le front du Donbass, Kiev tente de compromettre les objectifs et les missions des opérations militaires spéciales russes et de faire signer à la Russie un accord de paix aux conditions ukrainiennes. Pour y parvenir, Kiev utilise le soutien des États-Unis et de l’OTAN pour maintenir sa suprématie politique, technologique et informationnelle.

Loin s’en faut ! Les revers stratégiques des forces ukrainiennes et de leurs mercenaires est tel qu’aucune paix selon les conditions de Kiev n’est possible. L’arrivée de Trump à la Maison blanche est en lui seul un très mauvais signal pour les ukronazis de Zelensky.

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