Réunion jeudi du CS sur les enfants de Ghaza, à la demande de l'Algérie et de la Russie
ALGER - Le Conseil de sécurité des Nations unies tient, jeudi, à la demande de l'Algérie et de la Russie, une réunion consacrée à la situation des enfants à Ghaza, victimes de la guerre génocidaire sioniste ayant dévasté l'enclave palestinienne pendant plus de 15 mois. La réunion qui se tient sous la présidence de l'Algérie, concerne la situation des enfants palestiniens de Ghaza qui ont été les plus vulnérables et les plus touchés par l'agression dévastatrice lancée par l'entité sioniste le 7 octobre 2023 contre l'enclave où un cessez-le-feu est en vigueur depuis le 19 janvier. L'agression sioniste a fait au moins 158.000 victimes, entre martyrs et blessés, pour la plupart des enfants et des femmes, et plus de 14.000 personnes portées disparues. Elle a également entraîné des destructions massives d'infrastructures, d'écoles notamment, en plus d'une catastrophe humanitaire sans précédent dans l'enclave palestinienne. De nombreuses organisations internationales n'ont cessé de souligner leur préoccupation face à la situation des enfants ghazaouis et de mettre en garde contre les conséquences de la guerre sioniste dévastatrice sur cette catégorie vulnérable, confrontée à la malnutrition, à la maladie et aux traumatismes du fait de l'agression. Ainsi, le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) a appelé récemment à agir rapidement "pour rendre la vie un peu plus supportable pour ces enfants". La directrice générale de l'UNICEF, Catherine Russell, a souligné, dans ce contexte, que "face à l’effondrement des services essentiels à Ghaza, nous devons agir de toute urgence pour sauver des vies et aider les enfants à se rétablir". Et de poursuivre: "La guerre a fait payer un lourd tribut aux enfants de Ghaza, faisant au moins 14.500 morts, des milliers de blessés, environ 17.000 enfants non accompagnés ou séparés de leurs parents et près d'un million de déplacés". De son coté, Rosalia Bollen, la porte-parole de l'UNICEF, a rapporté que "chaque enfant de Ghaza est aujourd’hui profondément marqué et traumatisé par ce dont il a été témoin. Ils ont vécu des choses qu’aucun enfant ne devrait avoir à vivre". L'UNICEF avait déjà aussi alerté depuis longtemps sur le fait que "les abris inadéquats, le manque d'accès à la nutrition et aux soins de santé, la situation sanitaire désastreuse et maintenant les conditions hivernales mettent en danger la vie de tous les enfants de Ghaza. Les nouveau-nés et les enfants souffrant de problèmes de santé sont particulièrement vulnérables".
ALGER - Le Conseil de sécurité des Nations unies tient, jeudi, à la demande de l'Algérie et de la Russie, une réunion consacrée à la situation des enfants à Ghaza, victimes de la guerre génocidaire sioniste ayant dévasté l'enclave palestinienne pendant plus de 15 mois.
La réunion qui se tient sous la présidence de l'Algérie, concerne la situation des enfants palestiniens de Ghaza qui ont été les plus vulnérables et les plus touchés par l'agression dévastatrice lancée par l'entité sioniste le 7 octobre 2023 contre l'enclave où un cessez-le-feu est en vigueur depuis le 19 janvier.
L'agression sioniste a fait au moins 158.000 victimes, entre martyrs et blessés, pour la plupart des enfants et des femmes, et plus de 14.000 personnes portées disparues. Elle a également entraîné des destructions massives d'infrastructures, d'écoles notamment, en plus d'une catastrophe humanitaire sans précédent dans l'enclave palestinienne.
De nombreuses organisations internationales n'ont cessé de souligner leur préoccupation face à la situation des enfants ghazaouis et de mettre en garde contre les conséquences de la guerre sioniste dévastatrice sur cette catégorie vulnérable, confrontée à la malnutrition, à la maladie et aux traumatismes du fait de l'agression.
Ainsi, le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) a appelé récemment à agir rapidement "pour rendre la vie un peu plus supportable pour ces enfants".
La directrice générale de l'UNICEF, Catherine Russell, a souligné, dans ce contexte, que "face à l’effondrement des services essentiels à Ghaza, nous devons agir de toute urgence pour sauver des vies et aider les enfants à se rétablir".
Et de poursuivre: "La guerre a fait payer un lourd tribut aux enfants de Ghaza, faisant au moins 14.500 morts, des milliers de blessés, environ 17.000 enfants non accompagnés ou séparés de leurs parents et près d'un million de déplacés".
De son coté, Rosalia Bollen, la porte-parole de l'UNICEF, a rapporté que "chaque enfant de Ghaza est aujourd’hui profondément marqué et traumatisé par ce dont il a été témoin. Ils ont vécu des choses qu’aucun enfant ne devrait avoir à vivre".
L'UNICEF avait déjà aussi alerté depuis longtemps sur le fait que "les abris inadéquats, le manque d'accès à la nutrition et aux soins de santé, la situation sanitaire désastreuse et maintenant les conditions hivernales mettent en danger la vie de tous les enfants de Ghaza. Les nouveau-nés et les enfants souffrant de problèmes de santé sont particulièrement vulnérables".