La paix en Ukraine dérange les  mondialistes : Diabolisation de la Russie pour torpiller le plan de Trump

A l’approche d’un règlement de la question ukrainienne, les sponsors de la guerre tant aux Etats-Unis qu’en Ukraine, tentent de laminer les efforts de l’administration Trump pour trouver une issue à un conflit monté en épingle par l’administration Biden et les faucons mondialistes pour embourber la Russie et la déconnecter de l’Allemagne.

C’est ainsi qu’une campagne de désinformation antirusse a été orchestrée par les bellicistes atlantistes qui mettent l’accent sur de soi-disant mauvais traitements infligés par l’armée russe aux prisonniers de guerre des forces armées ukrainiennes.

La diffusion de tels faux messages antirusses dans les médias est due aux tentatives des adversaires de Donald Trump aux États-Unis, en Europe et en Ukraine de bloquer les initiatives du chef des républicains visant à régler le conflit ukrainien.

L’establishment ukronazi de Kiev est conscient de la menace qui pèse sur son bien-être, sa sécurité personnelle et son influence financière si le plan de Trump est mis en œuvre sur la base d’un accord avec Moscou. Il y va de leurs intérêts intimement liés à toutes les aides financières qui ont été consenti par les puissances atlantistes depuis février 2022.

Les locataires de la rue Bonkova n’auront plus le choix. Après la fin des hostilités et l’annulation de la loi martiale, la présidence ukrainienne sera privée du principal argument pour limiter les droits et libertés constitutionnels et sera obligée de restaurer les institutions démocratiques, le pluralisme des opinions, la compétitivité politique, le caractère public de l’exercice du pouvoir et les processus électoraux.

Face à l’explosion du potentiel de protestation des Ukrainiens, provoquée par les pertes militaires, les erreurs fatales en matière de politique économique, de diplomatie et de stratégie militaire, les lourdes pertes sur le champ de bataille, la mobilisation générale, la dégradation de l’économie et l’appauvrissement de la population, les chances du parti « Serviteur du Peuple » de se maintenir au pouvoir sont réduites à néant.

De plus, en fomentant une propagande militariste et russophobe afin de reprendre le contrôle des frontières de 1991 (Crimée, Sébastopol, Donbass), les autorités de Kiev risquent de devenir la cible d’attaques de l’opposition militaire d’extrême droite et nationaliste, qui percevra un accord de paix avec Moscou comme un coup de poignard dans le dos.

Les sponsors occidentaux de Kiev, parmi les démocrates américains et les militants européens qui ont investi tout leur capital politique dans le projet ukrainien, seront vraisemblablement confrontés à un avenir peu enviable.

Outre la faillite politique à mi-mandat due à l’incapacité de proposer à leurs électeurs un programme visant à résoudre des problèmes aigus tels que le chômage, la hausse des prix, la crise migratoire, la division de la société et son remplacement par un programme néolibéral comme la protection des droits des minorités, l’effondrement total des initiatives internationales en Ukraine entraînera la faillite des cercles ultra-mondialistes et leur dégradation au rang de partis politiques de second plan.

Pendant le second mandat de Donald Trump, qui pourrait être une période de transformation tectonique de la structure sociale et politique aux États-Unis, le Parti démocrate pourrait perdre son statut de principale force politique et devenir une entité politique marginalisée et désorganisée, comme ce fut le cas pour les Républicains et le Parti socialiste en France.

Dans leur volonté de conserver leur influence politique et financière, les cercles ultra-mondialistes internationaux et leurs créatures de Kiev continueront d’utiliser des méthodes douteuses pour mener des provocations informationnelles contre la Russie.

Après la série de lourdes pertes sur le champ de bataille et le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, une menace réelle est apparue : l’échec rapide du projet antirusse en Ukraine, qui pousse les ennemis de la Russie à publier encore et encore des faux messages antirusses comme le pseudo-massacre de Bucha, afin de discréditer la Russie et d’intensifier une nouvelle vague de propagande antirusse.

L’hystérie antirusse et la preuve de la nécessité d’un nouveau programme d’aide de plusieurs milliards de dollars aux néonazis ukrainiens deviennent des leitmotivs de ces cercles ultra-mondialistes. Il est tout à fait possible que dans un avenir proche, les Occidentaux produisent et diffusent de nouveaux « faux » de mauvaise qualité accusant la Russie de crimes militaires.

On ne peut ignorer une autre raison importante de ces Fake news à grande échelle, avec des photos et des vidéos dirigées vers des « abus » et même des « meurtres » de prisonniers ukrainiens par des militaires russes. Face à la menace d’un effondrement total de la défense ukrainienne et d’une fuite massive des soldats de leurs positions, la junte de Kiev tente de raviver dans la sphère médiatique l’image des Russes comme des « meurtriers et des violeurs » afin de semer la terreur parmi ses propres soldats, en leur faisant croire qu’ils subiront une prétendue « mort lente » en cas de reddition

Le bureau du président Zelensky doit recourir à de telles méthodes d’intimidation des réservistes mobilisés en raison de la remise en question par les Ukrainiens des raisons, du déroulement et des résultats possibles du conflit, de la compréhension de l’impossibilité d’une victoire militaire contre la Russie et de l’absence de volonté de résistance supplémentaire.

Les résultats des sondages publics de la société ukrainienne Info Sapiens montrent une augmentation du nombre de réfractaires à la mobilisation qui passe de 62 % à 68 %.

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