Prétendu arrêt des échanges commerciaux avec la France : Les allégations mensongères de Driencourt fermement démenties
«Suite aux allégations mensongères colportées par l’ancien ambassadeur de France à Alger, dans son délire haineux et coutumier à l’égard de l’Algérie, au sujet de prétendues mesures restrictives au commerce, la cellule de Communication auprès du Premier ministre tient à apporter un démenti catégorique à ces informations erronées et totalement infondées», a indiqué, hier, un […]
«Suite aux allégations mensongères colportées par l’ancien ambassadeur de France à Alger, dans son délire haineux et coutumier à l’égard de l’Algérie, au sujet de prétendues mesures restrictives au commerce, la cellule de Communication auprès du Premier ministre tient à apporter un démenti catégorique à ces informations erronées et totalement infondées», a indiqué, hier, un communiqué de la primauté.
Ce démenti intervient suite à une rumeur diffusée par Xavier Driencourt, deux fois ancien ambassadeur de France à Alger, selon lequel l’Algérie aurait décidé de l’arrêt de la domiciliation bancaire des transactions commerciales de et vers la France. Une rumeur qui bien évidemment a suscité un réel affolement dans le milieu des affaires des deux rives.
En effet, il y a deux jours, sur son compte X (anciennement twitter) Xavier Driencourt avait posté : «Pour remercier la France, l’Algérie décide de bloquer toutes les importations françaises et les exportations vers la France. Nous sommes décidément aveugles». Pour mieux distiller sa fourberie, l’ancien diplomate n’a pas hésité à accompagner son post par un pseudo «document» non référencé attribué à Alger dans lequel il est écrit : «Nous vous informons qu’à compter du 5/11/2024, les domiciliations d’importation ayant pour origine et/ou provenance de France ne seront plus traitées par les banques de la place, les opérations d’exports vers la France sont également concernées. Les transactions ayant fait l’objet d’embarquement (date BL faisant foi avant le 04/11/2024) pourraient faire objet de domiciliation. Les factures de biens ayant déjà été domiciliées seront traitées sans blocage».
Sauf que, ce qui semble scandaleusement avoir échappé à l’ancien diplomate aveuglé par son acharnement contre l’Algérie, censé connaître l’exigence de références dans tous les documents officiels (entête officielle, date, lieu, logo, cachet, signature…), le faux est manifeste.
L. N.
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