Sonelgaz : l’utilisation des nouvelles technologies a permis de faire face à la forte demande d’électricité
La Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz) a pu faire face à la forte demande d’électricité et aux pannes qui en résultent durant la période estivale 2025, grâce à une stratégie proactive axées sur des investissements conséquents en matière d’équipements et de modernisation des outils d’intervention via les technologie de pointe, a indiqué […]

La Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz) a pu faire face à la forte demande d’électricité et aux pannes qui en résultent durant la période estivale 2025, grâce à une stratégie proactive axées sur des investissements conséquents en matière d’équipements et de modernisation des outils d’intervention via les technologie de pointe, a indiqué lundi à Constantine le porte-parole du Groupe, Khalil Hodna.
Au cours d’une conférence de presse animée à la direction de distribution de Sonelgaz de Bab El Kantara (Constantine), le prorte-parole a affirmé que la rapidité de l’intervention rendue possible grâce à l’intégration des
technologies de pointes permettant la détection des pannes, a permis une réactivité accrue sur le terrain pour une continuité du service public même en période de forte demande.
Le poste de commande centralisé (PCC) de la Sonelgaz a largement contribué à l’amélioration des paramètres de performance, a souligné le même responsable qui a mis en avant l’importance des investissements colossaux réalisés par cette Société en matière d’infrastructures, de production, de transport et réseaux de distributions, entre autres.
La consommation nationale de l’énergie électrique avait enregistré durant cet été 8 pics, a-t-il rappelé, précisant que la situation avait été maîtrisée avec « succès ».
L’exercice 2026, sera pour Sonelgaz, « l’année de l’exportation », a estimé le même responsable évoquant les prouesses réalisées par l’Algérie en matière de production énergétique, notamment dans le cadre de la stratégie de la transition énergétique, et les avancées concrétisées également dans le domaine de production d’équipements au niveau des filiales de production d’El Eulma (Sétif) et de M’Sila.
Citant l’exemple des compteurs électroniques et intelligents fabriqués en Algérie et les détecteurs du monoxyde de carbone, le même responsable a fait état d’un taux d’intégration dépassant parfois les 90% en matière dematériel utilisé dans le domaine d’électricité et de gaz.