Dénonciation de l’accord insignifiant de 1968 : le déchet politique Ciotti récidive

Par Kamel M. – Le déchet politique Eric Ciotti n’en démord pas. Vomi par les Français, il compte s’accrocher, telle... L’article Dénonciation de l’accord insignifiant de 1968 : le déchet politique Ciotti récidive est apparu en premier sur Algérie Patriotique.

Juin 26, 2025 - 10:11
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Dénonciation de l’accord insignifiant de 1968 : le déchet politique Ciotti récidive

Par Kamel M. – Le déchet politique Eric Ciotti n’en démord pas. Vomi par les Français, il compte s’accrocher, telle une teigne, aux privilèges que lui offre encore son statut d’homme politique, indésirable, scotché à son strapontin au Parlement français, peuplé de députés carriéristes. Pour ce faire, il utilise la haine de l’Algérie et des Algériens – qui la lui rendent bien – en sortant du placard le poussiéreux accord de 1968 aux fins de proposer sa dénonciation par l’Assemblée, gangrénée par l’extrême-droite et à laquelle il se frotte par pur calcul machiavélique.

«Les députés proches d’Eric Ciotti ont des chances de faire adopter, ce jeudi, à l’Assemblée une résolution pour mettre fin aux accords entre Paris et Alger qui facilitent l’arrivée de ressortissants algériens. Si ce texte n’a rien de contraignant, son adoption pourrait susciter la colère d’Emmanuel Macron et mettre dans l’embarras François Bayrou», nous apprennent les médias français. C’est donc au plus détesté représentant de lui-même au sein de l’hémicycle qu’échoit la mission de relancer le débat sur ce texte dont le président algérien a pourtant dit que c’était une coquille vide. Ciotti, sa clique du Rassemblement national et ses relais dans les outils de propagande français omettent également de rappeler les précisions de Benjamin Stora sur la genèse de ce traité.

L’historien français a, pourtant, clairement indiqué à ses concitoyens que l’accord, signé six ans après l’indépendance de l’Algérie, a été institué non pas pour offrir des avantages aux Algériens, mais pour restreindre et réguler la circulation des travailleurs algériens nombreux à se rendre librement en France [dans le cadre des accords d’Evian], pour y travailler, durant les premières années qui ont suivi la fin de la guerre. «Les Algériens n’ont jamais demandé à ce que l’accord de 1968 soit absolument respecté», avait-il insisté.

En janvier dernier, le voyou au casier judiciaire archiplein, Eric Ciotti, avait qualifié l’Algérie d’«Etat voyou». Une réponse cinglante lui était venue du président de l’Observatoire de lutte contre l’islamophobie. «Eric Ciotti appartient à cette classe politique putride qui pourrit le climat en France», avait affirmé Abdallah Zekri, en rappelant que «ce malotru a tombé le masque lors des dernières élections législatives, lorsqu’il a voulu s’amarrer au Rassemblement national par pur opportunisme, avant d’être exclu de son parti». «Ce vagabond politique obtient des scores minuscules à toutes les élections et il continue de s’incruster dans les institutions françaises et d’imposer sa sale gueule aux Français qui l’exècrent», s’était insurgé le vice-président du Conseil français du culte musulman (CFCM), dans une déclaration à Algeriepatriotique.

«Eric Ciotti a le statut de voyou de la République chevillé au corps, et cela est de notoriété publique», avait relevé Abdallah Zekri, en indiquant que les médias français regorgeaient d’articles le concernant et mettant à nu sa vénalité. «C’est ce malfrat qui ose qualifier l’Algérie d’Etat voyou ; décidément, on aura tout vu et tout entendu dans cette France où des canailles accusées de passe-droits, de corruption, d’abus de biens sociaux, de fraude, de cumul d’emplois, et j’en passe, siègent encore dans une institution parlementaire dont le rôle est d’élaborer des lois que ce scélérat est le premier à violer sans scrupule», avait-il rappelé, à juste titre.

K. M.

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