Enseignement supérieur : 23 établissements privés ouvrent leurs portes
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé que 23 établissements privés agréés accueilleront les nouveaux bacheliers dès la rentrée universitaire 2025-2026. Ces écoles proposent une variété de formations dans les domaines du commerce, de la gestion, du droit, de l’informatique, des langues, des sciences humaines et des technologies, avec des […] The post Enseignement supérieur : 23 établissements privés ouvrent leurs portes appeared first on Le Jeune Indépendant.

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé que 23 établissements privés agréés accueilleront les nouveaux bacheliers dès la rentrée universitaire 2025-2026. Ces écoles proposent une variété de formations dans les domaines du commerce, de la gestion, du droit, de l’informatique, des langues, des sciences humaines et des technologies, avec des frais de scolarité fixés par chaque structure.
Contrairement aux universités publiques, l’inscription dans ces établissements ne nécessite pas de préinscription sur la plateforme « Progres ». Les candidats doivent consulter le guide d’orientation des bacheliers 2025, qui présente les conditions d’admission, les adresses et les spécialités proposées. Les filières couvrent un large éventail de domaines : sciences économiques, gestion, commerce, informatique, droit, langues, sciences humaines et technologies.
Parmi les établissements phares, l’École supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger propose un programme en gestion hôtelière et restauration, accessible aux bacheliers en gestion-économie, sciences expérimentales, mathématiques, technique-mathématique, lettres et philosophie ou langues étrangères. La sélection se fait sur la moyenne du bac, complétée par un test écrit (anglais, culture générale, logique appliquée) et un entretien oral devant un jury.
L’Institut de management et de développement (MDI) d’Alger offre des formations en gestion des affaires et business intelligence, ouvertes aux bacheliers en sciences expérimentales, mathématiques, technique-mathématique et gestion-économie. L’admission repose sur la moyenne du bac, un concours écrit et un entretien oral. Le même institut propose également un cursus en droit des affaires, accessible à toutes les filières sauf les arts.
Dans le domaine informatique, l’École supérieure de technologie El Baraka propose une spécialisation en systèmes informatiques, tout comme l’Institut de management d’Alger, qui offre des filières en management et marketing, avec un test d’anglais pour les formations dispensées en langue étrangère.
L’Institut de formation en assurances et gestion met l’accent sur le commerce, la comptabilité, la finance et les métiers de l’informatique, avec un seuil minimum de 12/20 au bac pour certaines filières.
D’autres établissements misent sur des secteurs en plein essor. C’est le cas de « Anseim Sup », qui propose une offre élargie en gestion, marketing, finances, anglais des affaires, et en systèmes d’information.
À Tizi Ouzou, l’École de gestion des affaires dispense des formations en management, droit des affaires, systèmes informatiques et réseaux.
L’École des techniques de gestion se distingue par ses spécialités en hôtellerie, tourisme, commerce international, marketing digital, comptabilité et finances, accessibles à presque toutes les filières.
Dans le domaine de la santé visuelle, les instituts d’optométrie de Sétif, Oran et Bordj Bou Arréridj proposent des formations en optique destinées aux profils scientifiques et techniques. La Business School d’Alger délivre des diplômes en gestion, finances, marketing digital et ingénierie logicielle.
L’École supérieure des sciences et technologies, quant à elle, se positionne sur des filières de pointe : électronique, chimie pharmaceutique, développement web, cybersécurité, e-commerce et marketing digital.
D’autres instituts, à l’image de Numidia ou Ibn Rochd Sup, se spécialisent dans les systèmes autonomes, cybersécurité, intelligence artificielle, data science, ou encore ingénierie des systèmes d’information.
Les bacheliers issus de filières littéraires ou des sciences humaines ne sont pas en reste. À Ghardaïa, l’Institut El Ghufran propose des cursus en linguistique, littérature arabe et amazighe, anthropologie, anglais et français.
L’Institut supérieur des sciences humaines et appliquées de la même ville forme en psychologie éducative, jurisprudence et littérature arabe.
Dans la majorité de ces établissements, la moyenne au baccalauréat est le principal critère d’admission. Certaines filières imposent également un seuil minimal (notamment en mathématiques), des épreuves écrites, des tests de langue ou encore des entretiens oraux.
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