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Ouverture des travaux du Colloque international sur la connaissance mutuelle entre les êtres humains et son impact sur la coexistence
ALGER - Les travaux d'un colloque international organisé par le Haut conseil islamique (HCI), sur la thématique "la connaissance mutuelle entre les êtres humains et son impact sur la coexistence: vers la rencontre des civilisations", se sont ouverts, samedi à Alger, avec la participation de spécialistes et de chercheurs de plusieurs pays. Dans une allocution à cette occasion, le président du HCI, Mebrouk Zidelkhir a affirmé que ce colloque organisé sous le haut-patronage du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visait à contribuer à l'instauration d'"un dialogue bénéfique entre les enfants de l'Humanité, afin de réaliser l'essor civilisationnel escompté". Il a ajouté que l'humanité, "en cette ère de guerres, a besoin de renaissance avec une philosophie d'entraide, de coopération, d'entente et de dialogue", appelant à la "réalisation d'une paix mondiale qui rend justice à l'opprimé". "C'est la démarche pour laquelle s'est engagée l'Algérie, en soutenant les causes des peuples opprimés à travers le monde", a-t-il souligné. De son côté, le recteur de Djamaâ El-Djazaïr, M. Mohamed Maâmoun Al Kacimi Al Hoceini a expliqué, dans son intervention, à cette occasion, que "la coexistence n'est pas une trêve temporaire dictée par un impératif, mais un noble choix moral et humanitaire découlant de la reconnaissance mutuelle de la dignité humaine, de l'équité, de l'indulgence et du droit à la différence en tant que valeurs humaines qui constituent une référence commune entre les nations". "Les premiers pas vers une véritable connaissance mutuelle commencent par la levée des barrières géographiques", a-t-il précisé, soulignant que Djamaâ El-Djazaïr "porte un projet civilisationnel contemporain dans lequel le discours islamique est renouvelé avec des concepts universels qui reflètent l'ouverture de l'Islam à l'humanité et concrétisent véritablement les valeurs coraniques profondes". Au premier plan de ces valeurs, a-t-il dit, figurent "la connaissance mutuelles entre les êtres humains, la promotion de la culture du dialogue et des échanges culturels entre les peuples". Il a appelé à cet égard à la formation d'une coalition mondiale pour une coexistence où les référents religieux seraient des partenaires actifs, afin de diffuser les valeurs de tolérance et de promouvoir la paix conformément aux principes de l'Islam". Ce colloque de trois jours vise, selon les organisateurs, à "promouvoir les valeurs de paix et de coexistence", à travers les interventions de penseurs et de chercheurs, qui "présenteront des visions aussi bien théoriques que pratiques sur le dialogue des civilisations et son rôle dans le rapprochement entre les peuples". L'organisation de ce colloque s'inscrit dans une démarche visant à "renforcer les valeurs liées au dialogue des civilisations, afin de jeter les bases d'une approche civilisationnelle en allant au-delà de l'aspect théorique vers des mécanismes pratiques permettant de transcender les conflits et d'ériger des passerelles de coopération entre les peuples dans les différents continents".
ALGER - Les travaux d'un colloque international organisé par le Haut conseil islamique (HCI), sur la thématique "la connaissance mutuelle entre les êtres humains et son impact sur la coexistence: vers la rencontre des civilisations", se sont ouverts, samedi à Alger, avec la participation de spécialistes et de chercheurs de plusieurs pays.
Dans une allocution à cette occasion, le président du HCI, Mebrouk Zidelkhir a affirmé que ce colloque organisé sous le haut-patronage du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visait à contribuer à l'instauration d'"un dialogue bénéfique entre les enfants de l'Humanité, afin de réaliser l'essor civilisationnel escompté".
Il a ajouté que l'humanité, "en cette ère de guerres, a besoin de renaissance avec une philosophie d'entraide, de coopération, d'entente et de dialogue", appelant à la "réalisation d'une paix mondiale qui rend justice à l'opprimé".
"C'est la démarche pour laquelle s'est engagée l'Algérie, en soutenant les causes des peuples opprimés à travers le monde", a-t-il souligné.
De son côté, le recteur de Djamaâ El-Djazaïr, M. Mohamed Maâmoun Al Kacimi Al Hoceini a expliqué, dans son intervention, à cette occasion, que "la coexistence n'est pas une trêve temporaire dictée par un impératif, mais un noble choix moral et humanitaire découlant de la reconnaissance mutuelle de la dignité humaine, de l'équité, de l'indulgence et du droit à la différence en tant que valeurs humaines qui constituent une référence commune entre les nations".
"Les premiers pas vers une véritable connaissance mutuelle commencent par la levée des barrières géographiques", a-t-il précisé, soulignant que Djamaâ El-Djazaïr "porte un projet civilisationnel contemporain dans lequel le discours islamique est renouvelé avec des concepts universels qui reflètent l'ouverture de l'Islam à l'humanité et concrétisent véritablement les valeurs coraniques profondes".
Au premier plan de ces valeurs, a-t-il dit, figurent "la connaissance mutuelles entre les êtres humains, la promotion de la culture du dialogue et des échanges culturels entre les peuples". Il a appelé à cet égard à la formation d'une coalition mondiale pour une coexistence où les référents religieux seraient des partenaires actifs, afin de diffuser les valeurs de tolérance et de promouvoir la paix conformément aux principes de l'Islam".
Ce colloque de trois jours vise, selon les organisateurs, à "promouvoir les valeurs de paix et de coexistence", à travers les interventions de penseurs et de chercheurs, qui "présenteront des visions aussi bien théoriques que pratiques sur le dialogue des civilisations et son rôle dans le rapprochement entre les peuples".
L'organisation de ce colloque s'inscrit dans une démarche visant à "renforcer les valeurs liées au dialogue des civilisations, afin de jeter les bases d'une approche civilisationnelle en allant au-delà de l'aspect théorique vers des mécanismes pratiques permettant de transcender les conflits et d'ériger des passerelles de coopération entre les peuples dans les différents continents".
