Sommet de Doha : un front uni contre l'agression sioniste et sa menace pour la paix et la sécurité
DOHA- Les dirigeants des pays arabes et islamiques réunis lundi à Doha dans un sommet extraordinaire, ont adopté un communiqué final appelant à constituer un front uni contre l'agression sioniste contre le Qatar, la qualifiant de "menace grave" pour la paix et la sécurité régionales et internationales, et de "violation flagrante du droit international". Les participants ont affirmé dans leur communiqué leur "solidarité absolue" avec le Qatar, en soutenant toutes les mesures qu'il entreprendra pour protéger sa souveraineté, sa stabilité et la sécurité de ses citoyens. Ils ont dénoncé l'impunité dont bénéficie l'occupant sioniste, appelant la communauté internationale à le tenir responsable de ses crimes et violations répétées. Dans le même sillage, les dirigeants des pays arabes et islamiques ont exigé la fin de l'occupation sioniste de la Palestine, et la création d'un Etat palestinien indépendant dans les frontières de 1967, avec El Qods-Est pour capitale, poursuit le communiqué. Ils ont rejeté toute tentative de déplacement forcé ou de nettoyage ethnique, qualifiés de crimes contre l'humanité, condamnant les politiques sionistes de blocus, de famine et de colonisation, assimilées à des crimes de guerre. Les participants ont également averti contre les tentatives sionistes d'imposer un nouvel ordre de fait accompli dans la région, ou de saper les efforts de médiation, soulignant que "toute attaque contre le Qatar constitue une attaque contre l'ensemble du monde arabe et islamique". Le communiqué a salué le rôle du Qatar dans les efforts de médiation pour mettre fin à la guerre génocidaire sioniste à Ghaza. Les dirigeants ont, par la même occasion, accueilli favorablement la "Déclaration de New York" adoptée à l'ONU en faveur de la solution à deux Etats. Les chefs d'Etat arabes et islamiques ont exhorté le Conseil de sécurité à fixer un calendrier contraignant pour mettre fin à l'occupation sioniste.

DOHA- Les dirigeants des pays arabes et islamiques réunis lundi à Doha dans un sommet extraordinaire, ont adopté un communiqué final appelant à constituer un front uni contre l'agression sioniste contre le Qatar, la qualifiant de "menace grave" pour la paix et la sécurité régionales et internationales, et de "violation flagrante du droit international".
Les participants ont affirmé dans leur communiqué leur "solidarité absolue" avec le Qatar, en soutenant toutes les mesures qu'il entreprendra pour protéger sa souveraineté, sa stabilité et la sécurité de ses citoyens.
Ils ont dénoncé l'impunité dont bénéficie l'occupant sioniste, appelant la communauté internationale à le tenir responsable de ses crimes et violations répétées.
Dans le même sillage, les dirigeants des pays arabes et islamiques ont exigé la fin de l'occupation sioniste de la Palestine, et la création d'un Etat palestinien indépendant dans les frontières de 1967, avec El Qods-Est pour capitale, poursuit le communiqué.
Ils ont rejeté toute tentative de déplacement forcé ou de nettoyage ethnique, qualifiés de crimes contre l'humanité, condamnant les politiques sionistes de blocus, de famine et de colonisation, assimilées à des crimes de guerre.
Les participants ont également averti contre les tentatives sionistes d'imposer un nouvel ordre de fait accompli dans la région, ou de saper les efforts de médiation, soulignant que "toute attaque contre le Qatar constitue une attaque contre l'ensemble du monde arabe et islamique".
Le communiqué a salué le rôle du Qatar dans les efforts de médiation pour mettre fin à la guerre génocidaire sioniste à Ghaza.
Les dirigeants ont, par la même occasion, accueilli favorablement la "Déclaration de New York" adoptée à l'ONU en faveur de la solution à deux Etats.
Les chefs d'Etat arabes et islamiques ont exhorté le Conseil de sécurité à fixer un calendrier contraignant pour mettre fin à l'occupation sioniste.