Violation du droit international : Le Conseil de la nation hausse le ton
Sous la présidence d’Azouz Nasri, le bureau du Conseil de la nation a condamné avec fermeté l’attaque sioniste, d’une extrême gravité, contre la souveraineté de la République islamique d’Iran, appelant les Parlements du monde entier à se mobiliser pour mettre fin à une politique expansionniste et barbare qui menace la paix régionale et internationale. C’est […] The post Violation du droit international : Le Conseil de la nation hausse le ton appeared first on Le Jeune Indépendant.

Sous la présidence d’Azouz Nasri, le bureau du Conseil de la nation a condamné avec fermeté l’attaque sioniste, d’une extrême gravité, contre la souveraineté de la République islamique d’Iran, appelant les Parlements du monde entier à se mobiliser pour mettre fin à une politique expansionniste et barbare qui menace la paix régionale et internationale. C’est ce qu’a indiqué un communiqué du Conseil de la nation.
Le bureau de la Chambre haute du Parlement a exprimé, avant-hier soir, sa condamnation la plus ferme suite à l’agression armée menée par l’entité sioniste contre plusieurs sites stratégiques en Iran. Un acte qualifié d’« injuste, illégal et profondément inquiétant », qui s’inscrit dans une logique de provocation aux conséquences régionales potentiellement dévastatrices.
L’instance législative a alerté sur la gravité de la situation, déclarant que « nous suivons avec une profonde inquiétude l’agression sioniste flagrante contre le peuple iranien, ses infrastructures et ses installations stratégiques ». Elle a relevé que ces attaques constituent une « violation manifeste du droit international » et des « principes de la Charte des Nations unies ». Le Sénat a également dénoncé avec vigueur une entreprise militaire ciblant non seulement la souveraineté de l’Iran mais également son intégrité territoriale. Une atteinte que le Conseil de la nation qualifie de « bafouement abject » des lois internationales fondamentales. Il a affirmé que « cette agression injuste, en totale contradiction avec le droit international, reflète une fois de plus la politique coloniale et criminelle de l’entité sioniste, fondée sur des objectifs expansionnistes illégitimes et des méthodes agressives ». Le Sénat a ainsi fustigé l’impunité persistante dont jouit l’Etat sioniste sur la scène internationale.
Le spectre d’un embrasement régional
En outre, le bureau a tiré la sonnette d’alarme sur les répercussions dangereuses d’une telle escalade, appelant la communauté internationale à « agir concrètement et avec sérieux » pour empêcher que la région ne sombre dans le chaos. Soulignant que « la communauté internationale est désormais face à un véritable défi », il a ajouté qu’« il est impératif, de préserver la paix et la sécurité régionales » en mettant fin à l’agressivité « systématique » de l’entité sioniste.
Plus encore, le Sénat a déploré un « renversement des concepts » dans l’interprétation même de la légalité internationale, relevant que l’entité sioniste agit comme « un Etat au-dessus des lois, jugeant les autres sans jamais rendre de comptes ».
Le bureau dénonce ainsi le fait que l’entité sioniste se donne désormais le droit de violer l’espace aérien et le territoire de n’importe quel pays, à tout moment et à sa guise, conforté par le silence complice ou l’inaction des puissances influentes.
L’attaque contre l’Iran intervient, souligne le Conseil de la nation, dans le sillage d’une longue série d’agressions régionales, dont le génocide en cours à Gaza, et qui révèlent, selon lui, le « vrai visage hideux du sionisme ».
Depuis plus de vingt mois, rappelle l’institution, le peuple palestinien subit « des violations répétées, des crimes de guerre et des massacres de civils », dans une quasi-indifférence des grandes instances internationales.
Dans son message, le Conseil de la nation a lancé un appel solennel aux Parlements du monde, les exhortant à rejoindre les partisans de la paix et du respect du droit international et à œuvrer pour faire pression sur l’entité sioniste afin qu’elle mette fin à ses politiques militaires et expansionnistes. Il a tenu à affirmer qu’« Il est temps pour la communauté internationale, avec toutes ses institutions et organisations, d’assumer ses responsabilités historiques face à cette agression sioniste grave, en poursuivant et en criminalisant cet acte ».
Le Conseil de la nation a conclu son communiqué par un message de compassion et de solidarité à l’égard du peuple iranien, tout en renouvelant sa condamnation totale de cette ignoble agression terroriste.
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