Agression sioniste: Ghaza au "point de rupture"
ROME - La bande de Ghaza, ravagée par une agression sioniste génocidaire et où l'ONU a officiellement déclaré la famine, est arrivée à un "point de rupture", a déclaré jeudi la cheffe du Programme alimentaire mondial (PAM), Cindy McCain, après une visite sur place. "J'ai rencontré des enfants qui meurent de faim recevant des traitements pour malnutrition grave, et j'ai vu des photos d'eux quand ils étaient en bonne santé. Ils sont méconnaissables", a affirmé la cheffe de cette agence de l'ONU basée à Rome, citée dans un communiqué. "Le désespoir est à son comble et j'en ai été le témoin direct", a-t-elle ajouté. Mme McCain s'est rendue à Deir el-Balah, où elle a visité une clinique maintenant en vie des enfants souffrant de malnutrition et a rencontré des mères déplacées qui lui ont raconté leur lutte quotidienne pour survivre. Elle est également allée à Khan Younès. "Nous devons urgemment être en mesure de relancer notre vaste réseau fiable de 200 points de distribution de nourriture à travers la bande de Ghaza, des cuisines communautaires et des boulangeries", a-t-elle affirmé. "Il est urgent que les conditions idoines soient en place afin que nous puissions aider les plus vulnérables et sauver des vies". La crise humanitaire continue de s’aggraver depuis le 2 mars dernier à Ghaza, en raison du blocus sioniste total et de la pénurie d’approvisionnements alimentaires et médicaux, notamment après la fermeture par les forces d'occupation de tous les points de passage avec l'enclave palestinienne et l'interdiction d'entrée de la majorité de l’aide humanitaire et alimentaire. Le 22 août, l'ONU a officiellement déclaré la famine à Ghaza et en a attribué la responsabilité à l'entité sioniste, en se fondant sur un rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un organisme mandaté par les Nations unies.

ROME - La bande de Ghaza, ravagée par une agression sioniste génocidaire et où l'ONU a officiellement déclaré la famine, est arrivée à un "point de rupture", a déclaré jeudi la cheffe du Programme alimentaire mondial (PAM), Cindy McCain, après une visite sur place.
"J'ai rencontré des enfants qui meurent de faim recevant des traitements pour malnutrition grave, et j'ai vu des photos d'eux quand ils étaient en bonne santé. Ils sont méconnaissables", a affirmé la cheffe de cette agence de l'ONU basée à Rome, citée dans un communiqué.
"Le désespoir est à son comble et j'en ai été le témoin direct", a-t-elle ajouté.
Mme McCain s'est rendue à Deir el-Balah, où elle a visité une clinique maintenant en vie des enfants souffrant de malnutrition et a rencontré des mères déplacées qui lui ont raconté leur lutte quotidienne pour survivre. Elle est également allée à Khan Younès.
"Nous devons urgemment être en mesure de relancer notre vaste réseau fiable de 200 points de distribution de nourriture à travers la bande de Ghaza, des cuisines communautaires et des boulangeries", a-t-elle affirmé. "Il est urgent que les conditions idoines soient en place afin que nous puissions aider les plus vulnérables et sauver des vies".
La crise humanitaire continue de s’aggraver depuis le 2 mars dernier à Ghaza, en raison du blocus sioniste total et de la pénurie d’approvisionnements alimentaires et médicaux, notamment après la fermeture par les forces d'occupation de tous les points de passage avec l'enclave palestinienne et l'interdiction d'entrée de la majorité de l’aide humanitaire et alimentaire.
Le 22 août, l'ONU a officiellement déclaré la famine à Ghaza et en a attribué la responsabilité à l'entité sioniste, en se fondant sur un rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un organisme mandaté par les Nations unies.