Djamaâ El-Djazaïr: distinction de 500 récitants du Saint Coran de différentes wilayas du pays
ALGER - Djamaâ El-Djazaïr a abrité, samedi, une cérémonie de distinction de 500 récitants et récitantes du Saint Coran, venus de différentes wilayas du pays, dans le cadre de la 8e édition du projet de mémorisation du Saint Coran initié par la Fondation Al-Nahda Bil Al-Quran Al Kareem (la renaissance par le Saint Coran). A cette occasion, le recteur de Djamaâ El-Djazaïr, Cheikh Mohamed Maâmoun Al Kacimi Al Hoceini, a indiqué que "parler du message du Saint Coran en Algérie, c'est parler d'une renaissance coranique", en témoigne, a-t-il dit, "le travail réalisé par cette Fondation à travers cette initiative de distinction de 500 récitants et récitantes du Livre saint". "La nation algérienne a toujours été attachée au Saint Coran, qui était la référence de ses moudjahidine pendant la Révolution de libération, tout comme il est aujourd'hui une référence dans l'éducation des générations montantes, en tant que source de la bonne guidance que chacun doit suivre, sur les pas des prédécesseurs", a-t-il précisé. Dans ce sens, il a insisté sur "l'importance de l'éducation coranique pour réaliser une renaissance prometteuse", affirmant que "la distinction d'un tel nombre de récitants est le fruit des efforts consentis pour investir dans une jeunesse prometteuse qui représente l'avenir de l'Algérie". Dans une allocution lue en son nom par le député M'hamed Touil, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, a salué "les efforts déployés pour contribuer à la mémorisation du Saint Coran", soulignant "l'importance de demeurer attaché au legs culturel et religieux". Il a, également, salué le rôle de Djamaâ El-Djazaïr, ainsi que la contribution de cette fondation, à travers l'organisation de pareilles initiatives qui contribuent à ancrer davantage "les valeurs religieuses et l'identité nationale". De son côté, le président de la Fondation, Brahim Laâmouri, a souligné que cette édition était "le résultat d'un travail inlassable mené dans le cadre des camps de mémorisation et des efforts consentis par les responsables de l'académie de la Fondation, présente à travers toutes les wilayas du pays et qui compte des milliers d'adhérents".
ALGER - Djamaâ El-Djazaïr a abrité, samedi, une cérémonie de distinction de 500 récitants et récitantes du Saint Coran, venus de différentes wilayas du pays, dans le cadre de la 8e édition du projet de mémorisation du Saint Coran initié par la Fondation Al-Nahda Bil Al-Quran Al Kareem (la renaissance par le Saint Coran).
A cette occasion, le recteur de Djamaâ El-Djazaïr, Cheikh Mohamed Maâmoun Al Kacimi Al Hoceini, a indiqué que "parler du message du Saint Coran en Algérie, c'est parler d'une renaissance coranique", en témoigne, a-t-il dit, "le travail réalisé par cette Fondation à travers cette initiative de distinction de 500 récitants et récitantes du Livre saint".
"La nation algérienne a toujours été attachée au Saint Coran, qui était la référence de ses moudjahidine pendant la Révolution de libération, tout comme il est aujourd'hui une référence dans l'éducation des générations montantes, en tant que source de la bonne guidance que chacun doit suivre, sur les pas des prédécesseurs", a-t-il précisé.
Dans ce sens, il a insisté sur "l'importance de l'éducation coranique pour réaliser une renaissance prometteuse", affirmant que "la distinction d'un tel nombre de récitants est le fruit des efforts consentis pour investir dans une jeunesse prometteuse qui représente l'avenir de l'Algérie".
Dans une allocution lue en son nom par le député M'hamed Touil, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim Boughali, a salué "les efforts déployés pour contribuer à la mémorisation du Saint Coran", soulignant "l'importance de demeurer attaché au legs culturel et religieux".
Il a, également, salué le rôle de Djamaâ El-Djazaïr, ainsi que la contribution de cette fondation, à travers l'organisation de pareilles initiatives qui contribuent à ancrer davantage "les valeurs religieuses et l'identité nationale".
De son côté, le président de la Fondation, Brahim Laâmouri, a souligné que cette édition était "le résultat d'un travail inlassable mené dans le cadre des camps de mémorisation et des efforts consentis par les responsables de l'académie de la Fondation, présente à travers toutes les wilayas du pays et qui compte des milliers d'adhérents".