Electricité et gaz/régulation: Convention-cadre entre la CREG et le Conseil de la concurrence
ALGER - Une convention-cadre a été signée à Alger entre la Commission de régulation de l'électricité et du gaz (CREG) et le Conseil de la concurrence, pour établir un cadre de coopération et d'échange d'expertises en vue de renforcer la régulation dans le secteur de l'électricité et du gaz, ont annoncé, jeudi, ces deux institutions dans un communiqué commun. Cette convention-cadre, signée mercredi au siège de la CREG, par la présidente de la Commission, Wassila Betata Atimene et le président du Conseil de la concurrence, Ahmed Dkhinissa, s'inscrit dans "un contexte national marqué par la volonté affirmée des pouvoirs publics de consolider la bonne gouvernance et de promouvoir un environnement économique transparent, compétitif et durable", a précisé la même source. Il s'agit d'une "initiative stratégique qui vise à instituer un cadre structuré et pérenne de coopération et d'échange d'expertises entre les deux institutions clés, dans le but de renforcer la régulation, la transparence et la concurrence loyale, particulièrement dans le secteur de l'électricité et du gaz". Cette démarche interinstitutionnelle renforcée constitue, aussi, "un levier essentiel pour relever les défis complexes liés à la modernisation des marchés, à la protection des consommateurs, et à l'attractivité des investissements, priorités stratégiques des pouvoirs publics", a ajouté le communiqué. "Au-delà du rôle opérationnel, ces deux régulateurs jouent également un rôle stratégique essentiel en tant que conseillers indépendants des pouvoirs publics dans le processus de prise de décision. Leur expertise technique et leur analyse rigoureuse et neutre constituent un appui précieux pour orienter les politiques publiques et anticiper les évolutions des différents secteurs, contribuant ainsi à une gouvernance éclairée, transparente et responsable", a souligné, également, le communiqué. En outre, ces deux institutions entendent "conjuguer leurs compétences et créer des synergies permettant d'harmoniser leurs pratiques, d'échanger sur les meilleures approches réglementaires et de coordonner leurs actions en faveur d'un cadre réglementaire efficace et équitable". Le communiqué a noté qu"au-delà des échanges bilatéraux, ce partenariat s'inscrit pleinement dans les orientations prioritaires des pouvoirs publics où la bonne gouvernance, la transparence et la performance sont au cœur des réformes sectorielles" et vise "à favoriser la mise en place de mécanismes réguliers et institutionnalisés de dialogue et de concertation intersectoriels approfondis, incluant notamment la création de forums réunissant les régulateurs des différents secteurs économiques". Ces espaces d'échange sont appelés "à jouer un rôle central dans la promotion d'une gouvernance intégrée, où transparence, responsabilité et équité deviennent les piliers du fonctionnement des marchés" et à "capitaliser sur les savoir-faire respectifs, de partager les expériences innovantes et d'élaborer des stratégies communes pour anticiper et répondre aux mutations rapides des environnements économiques et technologiques". Un tel cadre participatif contribuera aussi à "soutenir la mise en œuvre cohérente des politiques publiques, à encourager la transparence, à stimuler l'innovation et la compétitivité et à promouvoir un environnement économique propice à l'investissement et à la protection des droits des consommateurs, indique la même source.


ALGER - Une convention-cadre a été signée à Alger entre la Commission de régulation de l'électricité et du gaz (CREG) et le Conseil de la concurrence, pour établir un cadre de coopération et d'échange d'expertises en vue de renforcer la régulation dans le secteur de l'électricité et du gaz, ont annoncé, jeudi, ces deux institutions dans un communiqué commun.
Cette convention-cadre, signée mercredi au siège de la CREG, par la présidente de la Commission, Wassila Betata Atimene et le président du Conseil de la concurrence, Ahmed Dkhinissa, s'inscrit dans "un contexte national marqué par la volonté affirmée des pouvoirs publics de consolider la bonne gouvernance et de promouvoir un environnement économique transparent, compétitif et durable", a précisé la même source.
Il s'agit d'une "initiative stratégique qui vise à instituer un cadre structuré et pérenne de coopération et d'échange d'expertises entre les deux institutions clés, dans le but de renforcer la régulation, la transparence et la concurrence loyale, particulièrement dans le secteur de l'électricité et du gaz".
Cette démarche interinstitutionnelle renforcée constitue, aussi, "un levier essentiel pour relever les défis complexes liés à la modernisation des marchés, à la protection des consommateurs, et à l'attractivité des investissements, priorités stratégiques des pouvoirs publics", a ajouté le communiqué.
"Au-delà du rôle opérationnel, ces deux régulateurs jouent également un rôle stratégique essentiel en tant que conseillers indépendants des pouvoirs publics dans le processus de prise de décision. Leur expertise technique et leur analyse rigoureuse et neutre constituent un appui précieux pour orienter les politiques publiques et anticiper les évolutions des différents secteurs, contribuant ainsi à une gouvernance éclairée, transparente et responsable", a souligné, également, le communiqué.
En outre, ces deux institutions entendent "conjuguer leurs compétences et créer des synergies permettant d'harmoniser leurs pratiques, d'échanger sur les meilleures approches réglementaires et de coordonner leurs actions en faveur d'un cadre réglementaire efficace et équitable".
Le communiqué a noté qu"au-delà des échanges bilatéraux, ce partenariat s'inscrit pleinement dans les orientations prioritaires des pouvoirs publics où la bonne gouvernance, la transparence et la performance sont au cœur des réformes sectorielles" et vise "à favoriser la mise en place de mécanismes réguliers et institutionnalisés de dialogue et de concertation intersectoriels approfondis, incluant notamment la création de forums réunissant les régulateurs des différents secteurs économiques".
Ces espaces d'échange sont appelés "à jouer un rôle central dans la promotion d'une gouvernance intégrée, où transparence, responsabilité et équité deviennent les piliers du fonctionnement des marchés" et à "capitaliser sur les savoir-faire respectifs, de partager les expériences innovantes et d'élaborer des stratégies communes pour anticiper et répondre aux mutations rapides des environnements économiques et technologiques".
Un tel cadre participatif contribuera aussi à "soutenir la mise en œuvre cohérente des politiques publiques, à encourager la transparence, à stimuler l'innovation et la compétitivité et à promouvoir un environnement économique propice à l'investissement et à la protection des droits des consommateurs, indique la même source.