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Le cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste largement salué
ALGER - Plusieurs pays et organisations internationales ont largement salué mardi l'annonce du cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, entré en vigueur mardi matin, à la suggestion du président américain, Donald Trump, et ont appelé à le respecter et à éviter une nouvelle escalade. Le président Trump avait annoncé l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, en guerre depuis le 13 juin. "Le cessez-le-feu est à présent en vigueur. Veuillez ne pas le violer" a-t-il écrit sur les réseaux sociaux. La Russie s'est dite satisfaite de ce cessez-le-feu, tout en espérant qu'il pourra "s'inscrire dans la durée". "Si un cessez-le-feu a vraiment été conclu, alors on ne peut que s'en réjouir", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. "Cela peut et doit être salué. (...) Et nous espérons que ce sera un cessez-le-feu durable", a-t-il dit. La Chine a quant à elle, exprimé l'espoir que le cessez-le-feu débute "au plus vite" et a exhorté l'Iran et l'entité sioniste à rechercher une "solution politique" à leur conflit. De son côté, le ministère turc des Affaires étrangères a appelé l'Iran et l'entité sioniste à "cesser pleinement les hostilités" en les exhortant à le "respecter pleinement" et à "maintenir ouverts les canaux de dialogue et de la diplomatie". Le chancelier allemand Friedrich Merz a, pour sa part, invité l'Iran et l'entité sioniste à mettre en œuvre l'annonce par Trump d'un cessez-le-feu bilatéral, ajoutant que l'annonce de Washington est "un développement très positif qui peut rendre le Moyen-Orient et le monde plus sûrs". Dans le même sillage, le Premier ministre du Qatar, cheikh Mohammed ben Abdulrahmane Al-Thani, a dit espérer que l'entité sioniste "ne profitera pas de la trêve avec l'Iran pour concentrer ses attaques sur le territoire palestinien", affirmant qu'il essayera d'organiser des négociations indirectes entre les deux parties "dans les deux prochains jours". L'Arabie saoudite a également salué l'annonce d'un cessez-le-feu, exprimant l'espoir que cela "contribue à restaurer la sécurité et la stabilité dans la région". De même pour la Jordanie qui a salué l'annonce du président américain, soulignant l'importance de l'accord pour désamorcer la situation dans la région et la protéger des conséquences d'une nouvelle détérioration. --- Une étape importante pour la paix dans région --- Abondant dans le même sens, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a salué l'annonce par le président américain d'un cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, les exhortant à le respecter "pleinement". "Les combats doivent cesser. J'espère sincèrement que ce cessez-le-feu servira de modèle pour d'autres conflits dans la région", a-t-il déclaré. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué que l'Europe "salue" l'annonce d'un cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, estimant que les négociations sont "la seule voie viable". Cette annonce est "une étape importante vers le rétablissement de la stabilité dans une région en tension. Cela doit être notre priorité collective", a-t-elle souligné. L'Union parlementaire arabe (UPA) a appelé, de son côté, le Conseil de sécurité de l'ONU à assumer ses responsabilités en prenant des "mesures efficaces" pour "dissuader les actions et œuvrer à empêcher une nouvelle escalade dans la région, rétablir la stabilité et donner la priorité au langage du dialogue pour préserver la sécurité de la région et de ses populations". L'UPA a également appelé la communauté internationale et les parlements nationaux et régionaux à "mobiliser leurs efforts et déjouer les complots criminels visant à imposer l'hégémonie absolue de l'entité sioniste sur la région". Le Secrétariat général de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) a salué, pour sa part, les efforts déployés pour parvenir à cet accord et appelé à un "engagement total" pour respecter cet accord et le mettre en œuvre, exprimant l'espoir qu'il permettrait "une désescalade, un apaisement de la situation et un renforcement des fondements de la sécurité, de la paix et de la stabilité dans toute la région".
ALGER - Plusieurs pays et organisations internationales ont largement salué mardi l'annonce du cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, entré en vigueur mardi matin, à la suggestion du président américain, Donald Trump, et ont appelé à le respecter et à éviter une nouvelle escalade.
Le président Trump avait annoncé l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, en guerre depuis le 13 juin. "Le cessez-le-feu est à présent en vigueur. Veuillez ne pas le violer" a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.
La Russie s'est dite satisfaite de ce cessez-le-feu, tout en espérant qu'il pourra "s'inscrire dans la durée".
"Si un cessez-le-feu a vraiment été conclu, alors on ne peut que s'en réjouir", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
"Cela peut et doit être salué. (...) Et nous espérons que ce sera un cessez-le-feu durable", a-t-il dit.
La Chine a quant à elle, exprimé l'espoir que le cessez-le-feu débute "au plus vite" et a exhorté l'Iran et l'entité sioniste à rechercher une "solution politique" à leur conflit.
De son côté, le ministère turc des Affaires étrangères a appelé l'Iran et l'entité sioniste à "cesser pleinement les hostilités" en les exhortant à le "respecter pleinement" et à "maintenir ouverts les canaux de dialogue et de la diplomatie".
Le chancelier allemand Friedrich Merz a, pour sa part, invité l'Iran et l'entité sioniste à mettre en œuvre l'annonce par Trump d'un cessez-le-feu bilatéral, ajoutant que l'annonce de Washington est "un développement très positif qui peut rendre le Moyen-Orient et le monde plus sûrs".
Dans le même sillage, le Premier ministre du Qatar, cheikh Mohammed ben Abdulrahmane Al-Thani, a dit espérer que l'entité sioniste "ne profitera pas de la trêve avec l'Iran pour concentrer ses attaques sur le territoire palestinien", affirmant qu'il essayera d'organiser des négociations indirectes entre les deux parties "dans les deux prochains jours".
L'Arabie saoudite a également salué l'annonce d'un cessez-le-feu, exprimant l'espoir que cela "contribue à restaurer la sécurité et la stabilité dans la région".
De même pour la Jordanie qui a salué l'annonce du président américain, soulignant l'importance de l'accord pour désamorcer la situation dans la région et la protéger des conséquences d'une nouvelle détérioration.
--- Une étape importante pour la paix dans région ---
Abondant dans le même sens, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a salué l'annonce par le président américain d'un cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, les exhortant à le respecter "pleinement".
"Les combats doivent cesser. J'espère sincèrement que ce cessez-le-feu servira de modèle pour d'autres conflits dans la région", a-t-il déclaré.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué que l'Europe "salue" l'annonce d'un cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste, estimant que les négociations sont "la seule voie viable".
Cette annonce est "une étape importante vers le rétablissement de la stabilité dans une région en tension. Cela doit être notre priorité collective", a-t-elle souligné.
L'Union parlementaire arabe (UPA) a appelé, de son côté, le Conseil de sécurité de l'ONU à assumer ses responsabilités en prenant des "mesures efficaces" pour "dissuader les actions et œuvrer à empêcher une nouvelle escalade dans la région, rétablir la stabilité et donner la priorité au langage du dialogue pour préserver la sécurité de la région et de ses populations".
L'UPA a également appelé la communauté internationale et les parlements nationaux et régionaux à "mobiliser leurs efforts et déjouer les complots criminels visant à imposer l'hégémonie absolue de l'entité sioniste sur la région".
Le Secrétariat général de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) a salué, pour sa part, les efforts déployés pour parvenir à cet accord et appelé à un "engagement total" pour respecter cet accord et le mettre en œuvre, exprimant l'espoir qu'il permettrait "une désescalade, un apaisement de la situation et un renforcement des fondements de la sécurité, de la paix et de la stabilité dans toute la région".
