Azoulay introduit le poison sioniste dans les programmes scolaires marocains
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Par Mohamed K. – Le système éducatif marocain traverse une crise grave, dont la dernière révélation choque profondément les consciences. Sous l’influence d’André Azoulay, cet homme de l’ombre qui pèse lourdement sur les décisions royales et politiques, le ministère de l’Education marocain a introduit dans les programmes du cycle primaire des textes glorifiant le colonialisme israélien, tout en qualifiant de terroristes les résistants palestiniens.
Comment les Marocains peuvent-ils accepter que leurs enfants soient formés dès le plus jeune âge à avaliser une vision biaisée et mensongère, effaçant la lutte légitime d’un peuple opprimé ? Cette orientation scolaire pro-sioniste ne sert qu’à légitimer l’injustice et la colonisation, tout en brisant l’esprit critique de la nouvelle génération. «Nous ne pouvons rester silencieux face à ce lavage de cerveau institutionnalisé», dénoncent des parents d’élèves, estomaqués à la découverte des textes en question, relatant l’histoire d’un soldat israélien qui a tué un enfant palestinien et qui explique à son fils que la victime était «têtue et sale». Ils appellent les enseignants et toute la société civile à se lever et à manifester massivement pour faire cesser cette infamie. «L’éducation n’est pas un terrain de manipulation idéologique, mais un droit fondamental à un enseignement libre et juste», clament-ils.
Mais cette dérive idéologique n’est qu’une facette d’un malaise plus profond qui gangrène l’école marocaine. Le second fait qui alarme les citoyens concerne une école privée dirigée par un ancien officier de l’armée américaine, symbole flagrant de la privatisation agressive et de l’ingérence étrangère dans les institutions éducatives marocaines. Cet homme, qui semble se croire au commandement d’une base militaire, a exclu sans ménagement une vingtaine d’élèves simplement parce que leurs parents ont osé protester contre les injustices qu’ils subissaient. Voilà l’école transformée en lieu d’oppression et de sanction, où l’on brise la voix des familles qui réclament justice, devant l’impuissance totale d’un Makhzen complètement soumis.
«Ce modèle est une menace pour l’avenir de notre jeunesse. Il impose une logique mercantile et autoritaire, qui broie les droits des élèves et détruit la confiance entre parents et enseignants. Face à cette politique, il faut dénoncer haut et fort cette privatisation sauvage, qui ne profite qu’à une minorité et détourne l’éducation de sa mission première : émanciper et élever les consciences», soutiennent des parents d’élèves.
Le troisième fait vient couronner cette série noire : dans le cadre des préparatifs pour la Coupe du monde 2030, les autorités marocaines ont décidé de fermer une école située à proximité d’un stade en construction. Sous prétexte de modernité et de prestige sportif, on sacrifie ainsi l’éducation de dizaines d’enfants. Ce choix irresponsable illustre une fois de plus la hiérarchisation cynique des priorités du régime de Rabat : le spectacle passe avant l’instruction, le business avant le bien-être social.
Cette décision provoque l’indignation des citoyens, qui refusent que l’avenir de leurs enfants soit sacrifié sur l’autel d’un événement événementiel, fût-il mondial. Elle révèle aussi une absence totale de dialogue et de respect envers les familles concernées.
«Face à ces attaques multiples contre l’école marocaine, il est urgent que tous les acteurs concernés – parents, enseignants, syndicats, associations – se mobilisent ensemble. Il en va de la sauvegarde de notre identité, de notre dignité, et surtout de l’avenir de nos enfants», exhortent des lanceurs d’alerte marocains, qui appellent à «refuser l’instrumentalisation pro-sioniste de l’éducation, la privatisation injuste, au mépris des besoins éducatifs au profit du spectacle». «L’éducation doit rester un bien public, un espace d’éveil et de liberté, et non un terrain d’affrontements idéologiques ou commerciaux», crient-ils.
«La mobilisation citoyenne est la seule voie pour reprendre en main l’avenir de nos écoles. Le combat pour une éducation juste et démocratique est un combat pour la souveraineté du Maroc lui-même», estiment ces lanceurs d’alerte, nombreux à dénoncer la mainmise du sioniste André Azoulay sur les rouages de l’Etat, de l’économie et de la société marocains.
M. K.
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