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Droits de l'Homme: M. Zaalani reçoit l'ambassadeur de la République islamique d’Iran en Algérie
ALGER- Le président du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), M. Abdelmadjid Zaalani, a reçu l'ambassadeur de la République islamique d'Iran en Algérie, M. Mohammad Reza Babai, avec lequel il a passé en revue les expériences des deux pays dans le domaine de la promotion et de la protection des droits de l'Homme, a indiqué vendredi un communiqué du Conseil. "Dans le cadre du renforcement des relations bilatérales en matière de promotion et de protection des droits de l'Homme, le président du CNDH, M. Abdelmadjid Zaalani, a reçu, jeudi au siège du Conseil, l'ambassadeur de la République islamique d'Iran en Algérie, M. Mohammad Reza Babai. La rencontre a été marquée par un échange approfondi sur les expériences des deux pays en matière de protection et de promotion des droits de l'Homme", lit-on dans le communiqué. Zaalani a rappelé que "le CNDH, représente à travers sa composante, les différentes franges de la société, tout en respectant le principe de parité hommes-femmes" ajoutant que le "CNDH est tout à fait neutre et indépendant quant à l'identification des violations et à la formulation des recommandations". Evoquant le contexte international, le président du CNDH a souligné que "la question des droits de l'Homme doit toujours être préservée et garantie, notamment durant les conflits, quels qu'ils soient". Il a, dans ce contexte, indiqué, que "la situation des droits de l'Homme, telle que stipulée par la Déclaration universelle des droits de l'Homme adoptée par les Nations Unies au lendemain la Seconde Guerre mondiale, en tant que cadre éthique et juridique pour éviter les affres et les violations graves, ainsi que les autres instruments y afférents, est désormais marquée par des déséquilibres et une ambiguïté mais reflète également un deux poids deux mesures dans l'application des normes, voire une marginalisation de ces droits dans de nombreux conflits à travers le monde". De son côté, l'ambassadeur de la République islamique d'Iran a affiché "son intérêt pour l'expérience de l'Algérie notamment en ce qui concerne les rapports annuels exhaustifs sur la situation des droits de l'Homme, soumis par le Conseil à Monsieur le président de la République, ainsi que les rapports et publications thématiques, brochures et dépliants publiés par cette instance". Après avoir "souligné l'importance de prendre connaissance des mécanismes de travail et d'évaluation adoptés par l'Algérie", l'ambassadeur iranien a présenté un aperçu de l'instance Iranienne chargée des droits de l'Homme, notamment sa composition et son fonctionnement, ajoute la même source. Il a également affirmé que "les valeurs fondatrices des droits de l'Homme n'existent plus après la mort en martyr des enfants de Ghaza", estimant que "la diplomatie a subi le même sort, étant profondément affectée". Au terme de la rencontre, les deux parties ont souligné "l'importance de la coopération bilatérale entre le Conseil national des droits de l'Homme en Algérie et le l'Office des droits de l'Homme en République islamique d'Iran, afin de permettre l'échange d'expériences et d'expertises entre les deux instances".
ALGER- Le président du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), M. Abdelmadjid Zaalani, a reçu l'ambassadeur de la République islamique d'Iran en Algérie, M. Mohammad Reza Babai, avec lequel il a passé en revue les expériences des deux pays dans le domaine de la promotion et de la protection des droits de l'Homme, a indiqué vendredi un communiqué du Conseil.
"Dans le cadre du renforcement des relations bilatérales en matière de promotion et de protection des droits de l'Homme, le président du CNDH, M. Abdelmadjid Zaalani, a reçu, jeudi au siège du Conseil, l'ambassadeur de la République islamique d'Iran en Algérie, M. Mohammad Reza Babai. La rencontre a été marquée par un échange approfondi sur les expériences des deux pays en matière de protection et de promotion des droits de l'Homme", lit-on dans le communiqué.
Zaalani a rappelé que "le CNDH, représente à travers sa composante, les différentes franges de la société, tout en respectant le principe de parité hommes-femmes" ajoutant que le "CNDH est tout à fait neutre et indépendant quant à l'identification des violations et à la formulation des recommandations".
Evoquant le contexte international, le président du CNDH a souligné que "la question des droits de l'Homme doit toujours être préservée et garantie, notamment durant les conflits, quels qu'ils soient".
Il a, dans ce contexte, indiqué, que "la situation des droits de l'Homme, telle que stipulée par la Déclaration universelle des droits de l'Homme adoptée par les Nations Unies au lendemain la Seconde Guerre mondiale, en tant que cadre éthique et juridique pour éviter les affres et les violations graves, ainsi que les autres instruments y afférents, est désormais marquée par des déséquilibres et une ambiguïté mais reflète également un deux poids deux mesures dans l'application des normes, voire une marginalisation de ces droits dans de nombreux conflits à travers le monde".
De son côté, l'ambassadeur de la République islamique d'Iran a affiché "son intérêt pour l'expérience de l'Algérie notamment en ce qui concerne les rapports annuels exhaustifs sur la situation des droits de l'Homme, soumis par le Conseil à Monsieur le président de la République, ainsi que les rapports et publications thématiques, brochures et dépliants publiés par cette instance".
Après avoir "souligné l'importance de prendre connaissance des mécanismes de travail et d'évaluation adoptés par l'Algérie", l'ambassadeur iranien a présenté un aperçu de l'instance Iranienne chargée des droits de l'Homme, notamment sa composition et son fonctionnement, ajoute la même source.
Il a également affirmé que "les valeurs fondatrices des droits de l'Homme n'existent plus après la mort en martyr des enfants de Ghaza", estimant que "la diplomatie a subi le même sort, étant profondément affectée".
Au terme de la rencontre, les deux parties ont souligné "l'importance de la coopération bilatérale entre le Conseil national des droits de l'Homme en Algérie et le l'Office des droits de l'Homme en République islamique d'Iran, afin de permettre l'échange d'expériences et d'expertises entre les deux instances".
