Famine à Ghaza: des médias internationaux alertent sur le danger de mort guettant leurs journalistes
LONDRES - De nombreux médias et agences de presse de renommée mondiale ont appelé jeudi l'entité sioniste à l'effet d'autoriser leurs équipes dans la bande de Ghaza de sortir et rentrer librement, afin de se procurer de la nourriture désormais introuvable dans l'enclave palestinienne, en raison du blocus sioniste. "Les journalistes doivent affronter de nombreuses privations et difficultés en zone de guerre. Nous sommes profondément inquiets du fait que, désormais, la faim menace leur survie", ont indiqué ces médias et agences de presse, dont Reuters, la BBC et Associated Press, dans une déclaration conjointe. Ils ont exhorté une nouvelle fois les autorités d'occupation sionistes à "autoriser l'entrée et la sortie des journalistes à Ghaza. Il est essentiel que des vivres en quantités suffisantes parviennent à la population sur place". Ces médias internationaux se disent "profondément préoccupés par la situation" de leurs journalistes à Ghaza, "qui peinent de plus en plus à subvenir aux besoins alimentaires de leurs familles et d'eux-mêmes". "Ces journalistes indépendants ont été les yeux et les oreilles du monde sur le terrain à Ghaza. Ils font désormais face aux mêmes conditions dramatiques que celles des populations qu'ils couvrent", soulignent-ils. Les témoignages de journalistes en grande détresse à Ghaza se sont multipliés ces derniers jours. Ils évoquent une faim extrême, un manque d'eau potable et une fatigue physique et mentale croissante, qui les contraignent parfois à réduire leur couverture de l'agression sioniste.
LONDRES - De nombreux médias et agences de presse de renommée mondiale ont appelé jeudi l'entité sioniste à l'effet d'autoriser leurs équipes dans la bande de Ghaza de sortir et rentrer librement, afin de se procurer de la nourriture désormais introuvable dans l'enclave palestinienne, en raison du blocus sioniste.
"Les journalistes doivent affronter de nombreuses privations et difficultés en zone de guerre. Nous sommes profondément inquiets du fait que, désormais, la faim menace leur survie", ont indiqué ces médias et agences de presse, dont Reuters, la BBC et Associated Press, dans une déclaration conjointe.
Ils ont exhorté une nouvelle fois les autorités d'occupation sionistes à "autoriser l'entrée et la sortie des journalistes à Ghaza. Il est essentiel que des vivres en quantités suffisantes parviennent à la population sur place".
Ces médias internationaux se disent "profondément préoccupés par la situation" de leurs journalistes à Ghaza, "qui peinent de plus en plus à subvenir aux besoins alimentaires de leurs familles et d'eux-mêmes".
"Ces journalistes indépendants ont été les yeux et les oreilles du monde sur le terrain à Ghaza. Ils font désormais face aux mêmes conditions dramatiques que celles des populations qu'ils couvrent", soulignent-ils.
Les témoignages de journalistes en grande détresse à Ghaza se sont multipliés ces derniers jours. Ils évoquent une faim extrême, un manque d'eau potable et une fatigue physique et mentale croissante, qui les contraignent parfois à réduire leur couverture de l'agression sioniste.
