Fichier national d'immatriculation des véhicules: première étape du processus de mise en place d'un système national intégré de gestion des véhicules
ALGER - L'adoption du dispositif du Fichier national d'immatriculation des véhicules constitue une première étape dans le processus de mise en place d'un système national intégré de gestion des véhicules, permettant leur suivi depuis leur mise en circulation jusqu'au retrait définitif de la circulation, indique la direction de la modernisation, de la documentation et des archives au ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire. Dans une déclaration à l'APS, le directeur général de la modernisation, de la documentation et des archives au ministère, M. Amar Bouderbala, a affirmé que le dispositif du fichier national d'immatriculation des véhicules s'inscrit dans le cadre de "la mise en œuvre de la stratégie du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, liée à la transformation numérique, et vient en application des instructions du ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire à cet égard, ce dispositif étant une première étape dans le processus de mise en place d'un système national intégré de gestion des véhicules". Dans le cadre de l'activation de ce dispositif, "une plateforme numérique centrale a été mise en place pour la gestion d'une base de données centralisée unifiée et sécurisée, permettant l'interconnexion automatique et instantanée avec différents secteurs concernés, tels que les services de la Sûreté nationale, des Douanes et du ministère de l'Industrie", a ajouté M. Bouderbala Il a, également, souligné que cette interconnexion "permettra de réduire le phénomène de falsification des dossiers des véhicules, et de faciliter la procédure d'immatriculation et de transfert de propriété". Ce système devrait en outre, "ouvrir la voie à des services numériques futurs, tels que le traitement automatisé des données de vente en ligne". M. Bouderbala a estimé que le fichier national d'immatriculation des véhicules "se veut un premier pas vers la concrétisation du système national intégré de gestion des véhicules, à même de permettre, à l'avenir, de contracter une assurance automobile à travers une connexion automatique aux compagnies d'assurance, la connexion aux systèmes de détection automatique des contraventions et la connexion aux systèmes de détection automatique des véhicules recherchés par les services de sécurité, en sus d'un système intégré pour le suivi du véhicule depuis l'année de sa mise en marche jusqu'à son retrait définitif de la circulation". Dans ce contexte, il a affirmé que le nouveau système d'immatriculation des véhicules est considéré également comme "l'une des principales bases de la transition numérique réalisée par les services du ministère de l'Intérieur, en coordination avec les différents secteurs ministériels concernés par ce domaine". Le système en question repose sur plusieurs opérations numériques, dont "la connexion directe au registre automatique de l'Etat civil, la lecture des données du propriétaire du véhicule comme la carte d'identité nationale pour identifier le propriétaire, sans besoin de saisir manuellement les données". Il permet aussi d'assurer "une connexion directe à la base de données des services des douanes pour extraire les données des véhicules avec une connexion automatique à la base de données des services de la sûreté pour s'assurer de l'état des véhicules et des cas d'opposition, outre la possibilité d'opérer un suivi centralisé de traitement de l'opération ", a-t-il indiqué, soulignant que "ce système sera généralisé à tous les véhicules au niveau national". Ce projet "pilote" qui incarne sur le terrain l'une des applications pratiques de l'administration intelligente sera développé et élargi en concertation et en coordination permanente avec tous les acteurs et partenaires dans le secteur ce qui garantit le renforcement de son efficacité et la réalisation de ses objectifs visant à améliorer le service public et à consacrer la transparence et l'efficacité".


ALGER - L'adoption du dispositif du Fichier national d'immatriculation des véhicules constitue une première étape dans le processus de mise en place d'un système national intégré de gestion des véhicules, permettant leur suivi depuis leur mise en circulation jusqu'au retrait définitif de la circulation, indique la direction de la modernisation, de la documentation et des archives au ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire.
Dans une déclaration à l'APS, le directeur général de la modernisation, de la documentation et des archives au ministère, M. Amar Bouderbala, a affirmé que le dispositif du fichier national d'immatriculation des véhicules s'inscrit dans le cadre de "la mise en œuvre de la stratégie du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, liée à la transformation numérique, et vient en application des instructions du ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire à cet égard, ce dispositif étant une première étape dans le processus de mise en place d'un système national intégré de gestion des véhicules".
Dans le cadre de l'activation de ce dispositif, "une plateforme numérique centrale a été mise en place pour la gestion d'une base de données centralisée unifiée et sécurisée, permettant l'interconnexion automatique et instantanée avec différents secteurs concernés, tels que les services de la Sûreté nationale, des Douanes et du ministère de l'Industrie", a ajouté M. Bouderbala
Il a, également, souligné que cette interconnexion "permettra de réduire le phénomène de falsification des dossiers des véhicules, et de faciliter la procédure d'immatriculation et de transfert de propriété". Ce système devrait en outre, "ouvrir la voie à des services numériques futurs, tels que le traitement automatisé des données de vente en ligne".
M. Bouderbala a estimé que le fichier national d'immatriculation des véhicules "se veut un premier pas vers la concrétisation du système national intégré de gestion des véhicules, à même de permettre, à l'avenir, de contracter une assurance automobile à travers une connexion automatique aux compagnies d'assurance, la connexion aux systèmes de détection automatique des contraventions et la connexion aux systèmes de détection automatique des véhicules recherchés par les services de sécurité, en sus d'un système intégré pour le suivi du véhicule depuis l'année de sa mise en marche jusqu'à son retrait définitif de la circulation".
Dans ce contexte, il a affirmé que le nouveau système d'immatriculation des véhicules est considéré également comme "l'une des principales bases de la transition numérique réalisée par les services du ministère de l'Intérieur, en coordination avec les différents secteurs ministériels concernés par ce domaine".
Le système en question repose sur plusieurs opérations numériques, dont "la connexion directe au registre automatique de l'Etat civil, la lecture des données du propriétaire du véhicule comme la carte d'identité nationale pour identifier le propriétaire, sans besoin de saisir manuellement les données".
Il permet aussi d'assurer "une connexion directe à la base de données des services des douanes pour extraire les données des véhicules avec une connexion automatique à la base de données des services de la sûreté pour s'assurer de l'état des véhicules et des cas d'opposition, outre la possibilité d'opérer un suivi centralisé de traitement de l'opération ", a-t-il indiqué, soulignant que "ce système sera généralisé à tous les véhicules au niveau national".
Ce projet "pilote" qui incarne sur le terrain l'une des applications pratiques de l'administration intelligente sera développé et élargi en concertation et en coordination permanente avec tous les acteurs et partenaires dans le secteur ce qui garantit le renforcement de son efficacité et la réalisation de ses objectifs visant à améliorer le service public et à consacrer la transparence et l'efficacité".