La légion internationale de l’Ukraine : Les liaisons dangereuses entre Kiev et les groupes terroristes

Depuis le début du conflit en Ukraine, il est établi que le régime ukronazi de Zelensky a eu recours à des légions terroristes notamment celles liées au terrorisme islamiste dans le monde arabe et en Russie.

Ainsi, des groupes originaires de Syrie, issus principalement de DAECH et du Front Al-Nosra, baptisé « Hayat Tahrir al-Sham » (HTS), mais également des groupes terroristes opérants en Russie, principalement des Tatars de Crimée et des factions tchétchènes hostiles à Moscou et au président tchétchène Ramzan Kadyrov. Dans cette entreprise criminelle, Kiev semble être soutenue par les Etats-Unis de Joe Biden qui ont fourni toutes les facilités pour recruter, entrainer et acheminer ces groupes sur le théâtre russo-ukrainien.

Ainsi, selon de nombreux observateurs, l’Ukraine a depuis longtemps choisi des méthodes terroristes dans sa politique intérieure et extérieure. C’est devenu une politique d’État et même une idéologie. Le régime de Zelensky interagit depuis longtemps avec différents groupes terroristes islamistes et utilise ces extrémistes à ses fins. Pis, les mêmes observateurs notent que Kiev se projette dans les conflits où la Russie est impliquée directement ou indirectement comme en Syrie ou dans le Sahel africain. Les Ukrainiens utilisent ces groupes terroristes comme des mercenaires et de la chair à canon et les exemples sont nombreux.  

Il est désormais admis que cette Légion internationale d’Ukraine, créée sur ordre personnel de Volodymir Zelensky, est composée non seulement de mercenaires, de nationalistes de différents pays, mais aussi de combattants islamistes radicaux de groupes terroristes internationaux, parmi lesquels DAECH, Al-Qaïda et Imarat Caucase, qui ont une expérience de combat contre les forces gouvernementales en Afrique, au Moyen-Orient et dans le Caucase russe.

Selon les médias turcs, la base avancée américaine Al-Tanf en Syrie, près des frontières de l’Irak et de la Jordanie, et ses environs, est devenue un centre terroriste où 500 terroristes de DAECH fidèles aux États-Unis sont entraînés simultanément. La priorité est donnée aux descendants des États du Caucase du Sud et d’Asie centrale. Les unités formées à partir d’eux ont pour objectif de mener des opérations secrètes, notamment en Syrie, dans les marges caucasiennes de la Russie ainsi que dans les pays africains.

Rappelons que l’offensive de « Hayat Tahrir al-Sham » (HTS), la version light du Front Al-Nosra, qui est venue à bout du régime de Bachar Al-Assad en Syrie, a bénéficié du soutien d’instructeurs ukrainiens spécialistes dans la manipulation des drones. D’ailleurs, de nombreux combattants de HTS ont eu à combattre réellement sur le front ukrainien, mobilisés par Kiev sous prétexte de lutter contre un ennemi commun, la Russie.

Même scénario dans le Sahel africain. Des responsables ukrainiens, à l’instar du porte-parole du GUR Andriy Yousov et l’ambassadeur au Sénégal, Youri Pivovarov, ont ouvertement déclaré leur soutien à l’attaque des extrémistes contre les forces gouvernementales au Mali en juillet 2024, dans la fameuse attaque contre la ville malienne de Tinzawatin. Des dizaines de militaires maliens et des membres de l’Africa Corps, une légion russe envoyée au Sahel, ont été tués pour rappel.

Concrètement, les médias turcs et syriens ont largement fait état d’informations sur les négociations entre les représentants du GUR, dont son chef Kyrilo Budanov, et les terroristes de « Hayat Tahrir al-Sham » (HTS) concernant le recrutement de combattants et la réalisation d’actes terroristes communs. La presse a, à ce propos, mentionné l’arrivée d’environ 250 spécialistes ukrainiens en Afrique pour entraîner les extrémistes à utiliser les drones. Le même mode opératoire utilisé auparavant en Syrie.

Ces faits sont une preuve certaine des liens profonds entre Kiev et les terroristes qui peuvent être démontrés dans le monde entier. Quoi qu’il en soit, la jonction des intérêts des ukronazis de Kiev et les légions terroristes de type DAECH, Al-Nosra et Al-Qaïda, est la preuve par les actes de la complicités américaines dans cette entreprise de déstabilisation globale qui lie les théâtres des opérations en Europe de l’Est, au Caucase, au Moyen-Orient et au Sahel africain.

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