Le président de la République souligne l’importance de bâtir une économie affranchie de la dépendance aux hydrocarbures
ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a souligné l'importance de bâtir une économie affranchie de la dépendance aux hydrocarbures, mettant en avant l’augmentation du taux de croissance économique et des réserves de change, parallèlement à la baisse de l'inflation. Lors de son entrevue périodique avec des représentants des médias nationaux, diffusée vendredi soir, le président de la République a réitéré son engagement à aller vers "une économie affranchie de la dépendance aux hydrocarbures". Le marché pétrolier "fait l’objet de contradictions, d’où l’impératif pour l’Algérie de ne pas en dépendre", a-t-il insisté. L’économie nationale enregistre actuellement un taux de croissance de 4%, sans recours à l’endettement extérieur, a fait observer le président de la République, ajoutant que les réserves de change s’élèvent à 70 milliards de dollars, avec un taux d’inflation ramené de plus de 9% au début de son premier mandat à 4% actuellement, avec pour objectif de le réduire davantage à l’avenir. "Il ne s’agit pas d’austérité, mais de bonne gouvernance", a-t-il affirmé. Le président de la République a, par ailleurs, indiqué que la valeur de la production agricole nationale devrait atteindre, cette année, 38 milliards de dollars, saluant les initiatives réussies sur le terrain, notamment l’expérience de viticulture dans la wilaya de Boumerdès et la production de pommes dans les Aurès, qui enregistre un excédent.


ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a souligné l'importance de bâtir une économie affranchie de la dépendance aux hydrocarbures, mettant en avant l’augmentation du taux de croissance économique et des réserves de change, parallèlement à la baisse de l'inflation.
Lors de son entrevue périodique avec des représentants des médias nationaux, diffusée vendredi soir, le président de la République a réitéré son engagement à aller vers "une économie affranchie de la dépendance aux hydrocarbures".
Le marché pétrolier "fait l’objet de contradictions, d’où l’impératif pour l’Algérie de ne pas en dépendre", a-t-il insisté.
L’économie nationale enregistre actuellement un taux de croissance de 4%, sans recours à l’endettement extérieur, a fait observer le président de la République, ajoutant que les réserves de change s’élèvent à 70 milliards de dollars, avec un taux d’inflation ramené de plus de 9% au début de son premier mandat à 4% actuellement, avec pour objectif de le réduire davantage à l’avenir.
"Il ne s’agit pas d’austérité, mais de bonne gouvernance", a-t-il affirmé.
Le président de la République a, par ailleurs, indiqué que la valeur de la production agricole nationale devrait atteindre, cette année, 38 milliards de dollars, saluant les initiatives réussies sur le terrain, notamment l’expérience de viticulture dans la wilaya de Boumerdès et la production de pommes dans les Aurès, qui enregistre un excédent.