Retour du commerce informel à Constantine : Entre survie économique et chaos urbain
Il est à peine 9 h en ce lundi 22 septembre, alors que la fraîcheur matinale adoucit l’air et que la ville s’éveille lentement, les rues 19 juin 1965 et Didouche Mourad – communément appelées rue de France et rue Caraman – dévoilent déjà leurs premiers commerçants et quelques consommateurs venus profiter de cette atmosphère encore paisible, ponctuée seulement par le passage des agents de nettoiement.
Il est à peine 9 h en ce lundi 22 septembre, alors que la fraîcheur matinale adoucit l’air et que la ville s’éveille lentement, les rues 19 juin 1965 et Didouche Mourad – communément appelées rue de France et rue Caraman – dévoilent déjà leurs premiers commerçants et quelques consommateurs venus profiter de cette atmosphère encore paisible, ponctuée seulement par le passage des agents de nettoiement.
