Cinéma: «Freud, la dernière confession», le meilleur film d’Anthony Hopkins

Après le thriller Piégé sorti dans nos salles au mois d’avril dernier, Anthony Hopkins incarne Signmund Freud dans le film de Matt Brown Freud, la dernière confession. Dans ce film, le comédien incarne Freud dans les derniers jours de sa vie. Réfugié à Londres en compagnie de sa fille Anna, Freud est devenu – sous […]

Juin 9, 2025 - 21:16
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Cinéma: «Freud, la dernière confession», le meilleur film d’Anthony Hopkins

Après le thriller Piégé sorti dans nos salles au mois d’avril dernier, Anthony Hopkins incarne Signmund Freud dans le film de Matt Brown Freud, la dernière confession.
Dans ce film, le comédien incarne Freud dans les derniers jours de sa vie. Réfugié à Londres en compagnie de sa fille Anna, Freud est devenu – sous l’effet de l’âge et de la maladie – un vieillard aigri et capricieux. Mais la curiosité du professeur est piquée au vif lorsqu’un certain C.S. Lewis (Matthew Goode), romancier et chrétien revendiqué, le mentionne dans l’une de ses publications. Leur rencontre autour de la question de Dieu va tourner au duel…
L’occasion de découvrir le film le mieux noté de la filmographie de l’acteur. Et personne ne sera surpris du résultat… Car ce n’est pas pour rien si c’est cet opus qui nous vient immédiatement en tête lorsque l’on évoque le nom d’Anthony Hopkins. Doté de la même moyenne, Elephant Man aurait pourtant pu lui damer le pion, mais le nombre de votants (74 454 contre 29 720 pour David Lynch) a fait pencher la balance en faveur… du Silence des agneaux.
L’un des rares films à avoir réussi le Big Five aux Oscars, en remportant les cinq principales récompenses : Film, Réalisation (Jonathan Demme), Scénario Adapté (Ted Tally d’après Thomas Harris), Actrice (Jodie Foster) et Acteur, pour un Anthony Hopkins qui n’a jamais été aussi terrifiant qu’en Hannibal Lecter (malgré un temps d’écran réduit à une quinzaine de minutes).
GyzmoCA a écrit à ce propos : «Jonathan Demme réalise un thriller parfait avec un Anthony Hopkins au sommet de son art et flippant en psychopathe cannibale. La psychologie des personnages est saisissante. On est terrifié, emballé. Un des meilleurs thrillers du cinéma ! Oscar 1992 du meilleur film, scénario, réalisateur, acteur et actrice ! Totalement mérité».
Leo.B a écrit sur le rôle de Anthony Hopkins que «Le Silence des agneaux est avant tout une ambiance. On ajoute à celle-ci la caméra de Demme qui, dans un timing génial, alterne les gros plans sur le visage de Hopkins et les hors-champ suggérant la présence du psychopathe, on a là la force et l’essence même du thriller. Un film qui m’a marqué et qui vous marquera. Et surtout c’est un film dont il ne faut que peu entendre parler pour l’apprécier à sa juste valeur. Un bijou du cinéma américain».
HawkMan trouve que «Dans les films autour de serial killer, si on doit en voir 2 dans sa vie c’est bien Le Silence des Agneaux accompagné de Seven. Voilà que dire hormis, une claque, un film d’anthologie autour d’une prestation XXL d’Anthony Hopkins pourtant si peu présent dans le film (15 minutes tout au plus) qui hantera plus d’un d’entre nous (…) Je ne peux pas en dire plus sans dévoiler des pans de l’histoire mais un film inévitable… à savourer !».
legend13 a écrit «Un thriller époustouflant et marquant. Jonathan Demme adaptait le roman de Thomas Harris avec une grande virtuosité. Plus de 30 ans plus tard Le Silence des Agneaux est toujours aussi malsain et malaisant. Et la performance des acteurs n’y est pas étrangère. Anthony Hopkins est terrifiant et tient ici son rôle le plus inoubliable. Jodie Foster est très touchante et Ted Levine est épatant dans le rôle du détraqué de service. Bref, une œuvre culte qui n’a pas pris une ride».
T. B.