L'état de santé des détenus palestiniens se détériore dans les prisons de l'occupation
RAMALLAH (Cisjordanie occupée) - La Commission des affaires des prisonniers palestiniens a révélé lundi une grave escalade des pratiques des forces de l'occupation sionistes contre les prisonniers palestiniens à l'intérieur de la prison de Gilboa, notant que les unités de répression continuent de prendre d'assaut les chambres des détenus et de les agresser brutalement au quotidien. L'avocat du comité a déclaré que les gardiens de prison ont pris d'assaut les cellules après avoir lancé des bombes assourdissantes et des gaz lacrymogènes, avant d'agresser les prisonniers avec des matraques, des agrafeuses, des grattoirs en cuir et des chiens policiers, en plus de les asperger de gaz lacrymogène et de les électrocuter. Outre les violences physiques, les prisonniers subissent actuellement des conditions climatiques difficiles. Dans le quartier de Beit Shean, où se trouve la prison de Gilboa, les températures ont dépassé les 45 degrés Celsius, dans un contexte de surpopulation étouffante, de mauvaise ventilation et d'absence des conditions humaines les plus élémentaires. Dans ce contexte, la commission palestinienne des prisonniers et ex-prisonniers a déclaré que le journaliste Ali Al-Samoudi (60 ans), originaire de Jénine, souffrait de problèmes de santé et de négligence médicale délibérée. Il est détenu à la prison du Néguev dans des conditions de détention difficiles et inhumaines. Al-Samoudi est actuellement détenu avec 160 autres prisonniers, coupé du monde extérieur, victime d'une famine systématique et d'attaques incessantes. Son état de santé est extrêmement précaire: il souffre de fortes douleurs à l'estomac, au côlon, à la tête et aux yeux, d'infections urinaires, et de pertes de connaissance. Il est insomniaque et a perdu 40 kilos, a précisé la même source. Concernant les conditions de détention des prisonniers, ces derniers ont indiqué, par l'intermédiaire de l'avocat de la Commission, que les conditions sont extrêmement difficiles et que les attaques contre eux se poursuivent. Ils sont également privés de tous les biens de première nécessité, tels que l'eau, la nourriture, les médicaments, le sucre et le sel.

RAMALLAH (Cisjordanie occupée) - La Commission des affaires des prisonniers palestiniens a révélé lundi une grave escalade des pratiques des forces de l'occupation sionistes contre les prisonniers palestiniens à l'intérieur de la prison de Gilboa, notant que les unités de répression continuent de prendre d'assaut les chambres des détenus et de les agresser brutalement au quotidien.
L'avocat du comité a déclaré que les gardiens de prison ont pris d'assaut les cellules après avoir lancé des bombes assourdissantes et des gaz lacrymogènes, avant d'agresser les prisonniers avec des matraques, des agrafeuses, des grattoirs en cuir et des chiens policiers, en plus de les asperger de gaz lacrymogène et de les électrocuter.
Outre les violences physiques, les prisonniers subissent actuellement des conditions climatiques difficiles. Dans le quartier de Beit Shean, où se trouve la prison de Gilboa, les températures ont dépassé les 45 degrés Celsius, dans un contexte de surpopulation étouffante, de mauvaise ventilation et d'absence des conditions humaines les plus élémentaires.
Dans ce contexte, la commission palestinienne des prisonniers et ex-prisonniers a déclaré que le journaliste Ali Al-Samoudi (60 ans), originaire de Jénine, souffrait de problèmes de santé et de négligence médicale délibérée. Il est détenu à la prison du Néguev dans des conditions de détention difficiles et inhumaines.
Al-Samoudi est actuellement détenu avec 160 autres prisonniers, coupé du monde extérieur, victime d'une famine systématique et d'attaques incessantes. Son état de santé est extrêmement précaire: il souffre de fortes douleurs à l'estomac, au côlon, à la tête et aux yeux, d'infections urinaires, et de pertes de connaissance. Il est insomniaque et a perdu 40 kilos, a précisé la même source.
Concernant les conditions de détention des prisonniers, ces derniers ont indiqué, par l'intermédiaire de l'avocat de la Commission, que les conditions sont extrêmement difficiles et que les attaques contre eux se poursuivent. Ils sont également privés de tous les biens de première nécessité, tels que l'eau, la nourriture, les médicaments, le sucre et le sel.