La "rhétorique génocidaire" de responsables sionistes sur Ghaza dénoncée
GENEVE - Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Volker Türk, s'est dit "horrifié" lundi par l'utilisation d'une "rhétorique génocidaire" par des responsables sionistes sur la bande de Ghaza, appelant la communauté internationale à "agir maintenant pour mettre fin au carnage" dans l'enclave palestinienne assiégée. "Je suis horrifié par l'utilisation sans détour d'une rhétorique génocidaire et la déshumanisation honteuse des Palestiniens par de hauts responsables (sionistes)", a déclaré Volker Türk, à l'ouverture de la 60e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève. Il a appelé à "agir maintenant pour mettre fin au carnage", estimant que la communauté internationale "manque à son devoir". "Nous manquons à notre devoir envers la population de Ghaza. Où sont les mesures décisives pour prévenir un génocide? Pourquoi les pays ne font-ils pas davantage pour prévenir les atrocités criminelles ?", s'est-il demandé. Et de poursuivre: "La région réclame la paix. Ghaza est un cimetière". "Les massacres de civils palestiniens perpétrés par (l'entité sioniste) à Ghaza, les souffrances indescriptibles et les destructions massives qu'il inflige, l'entrave à l'aide vitale suffisante et l'inanition qui en résulte pour les civils, les assassinats de journalistes, de personnels de l'ONU et d'employés d'ONG, et les crimes de guerre qu'elle commet, choquent les consciences dans le monde", a affirmé M. Türk. Le Haut-Commissaire demande aux pays de "stopper l'afflux vers (l'entité sioniste) d'armes qui risquent de violer les lois de la guerre" et d'"exercer une pression maximale pour obtenir un cessez-le-feu, la libération des personnes détenues et l'entrée d'une aide humanitaire suffisante à Ghaza, par tous les moyens à leur disposition". Il les appelle également à prendre "des actions décisives pour s'opposer au projet (sioniste) de prise de contrôle militaire de Ghaza et à l'annexion accélérée de la Cisjordanie occupée".


GENEVE - Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Volker Türk, s'est dit "horrifié" lundi par l'utilisation d'une "rhétorique génocidaire" par des responsables sionistes sur la bande de Ghaza, appelant la communauté internationale à "agir maintenant pour mettre fin au carnage" dans l'enclave palestinienne assiégée.
"Je suis horrifié par l'utilisation sans détour d'une rhétorique génocidaire et la déshumanisation honteuse des Palestiniens par de hauts responsables (sionistes)", a déclaré Volker Türk, à l'ouverture de la 60e session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève.
Il a appelé à "agir maintenant pour mettre fin au carnage", estimant que la communauté internationale "manque à son devoir".
"Nous manquons à notre devoir envers la population de Ghaza. Où sont les mesures décisives pour prévenir un génocide? Pourquoi les pays ne font-ils pas davantage pour prévenir les atrocités criminelles ?", s'est-il demandé.
Et de poursuivre: "La région réclame la paix. Ghaza est un cimetière".
"Les massacres de civils palestiniens perpétrés par (l'entité sioniste) à Ghaza, les souffrances indescriptibles et les destructions massives qu'il inflige, l'entrave à l'aide vitale suffisante et l'inanition qui en résulte pour les civils, les assassinats de journalistes, de personnels de l'ONU et d'employés d'ONG, et les crimes de guerre qu'elle commet, choquent les consciences dans le monde", a affirmé M. Türk.
Le Haut-Commissaire demande aux pays de "stopper l'afflux vers (l'entité sioniste) d'armes qui risquent de violer les lois de la guerre" et d'"exercer une pression maximale pour obtenir un cessez-le-feu, la libération des personnes détenues et l'entrée d'une aide humanitaire suffisante à Ghaza, par tous les moyens à leur disposition".
Il les appelle également à prendre "des actions décisives pour s'opposer au projet (sioniste) de prise de contrôle militaire de Ghaza et à l'annexion accélérée de la Cisjordanie occupée".