Cyberattaque et Blackout en Espagne : l’empreinte du Maroc révélée

Le 28 avril 2025, l’Espagne et le Portugal ont été plongés dans un blackout massif, paralysant des millions de foyers, des infrastructures critiques et même affectant des régions du sud-ouest de la France . Si les causes officielles restent floues, un rapport explosif du journal espagnol « El Distrio », publié le 29 avril, accuse le Maroc […]

Mai 2, 2025 - 12:20
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Cyberattaque et Blackout en Espagne : l’empreinte du Maroc révélée

Le 28 avril 2025, l’Espagne et le Portugal ont été plongés dans un blackout massif, paralysant des millions de foyers, des infrastructures critiques et même affectant des régions du sud-ouest de la France .

Si les causes officielles restent floues, un rapport explosif du journal espagnol « El Distrio », publié le 29 avril, accuse le Maroc et des entités sionistes d’être derrière une cyberattaque sophistiquée visant le réseau électrique ibérique.

Selon le journaliste Aoud Sanchez, des preuves techniques indiquent l’utilisation de signatures numériques déjà associées à des groupes marocains, ainsi que l’exploitation d’un réseau VPN dont l’infrastructure a été localisée en Afrique du Nord, plus précisément au Maroc.

Cette révélation jette une lumière crue sur les tensions géopolitiques sous-jacentes, notamment après la reconnaissance par Madrid de l’État palestinien, un geste perçu comme une provocation par Rabat, allié stratégique de l’entité sioniste.

L’attaque survient dans un climat déjà tendu entre le Maroc et l’Espagne, marqué par des désaccords sur la question du Sahara occidental et des migrations clandestines.

Cependant, cette fois, le conflit a pris une tournure numérique, révélant une nouvelle forme de guerre hybride où les algorithmes remplacent les armes conventionnelles.

Plusieurs observateurs estiment que le Maroc, fort de son partenariat renforcé avec les sionistes en cybersécurité, cherche à exercer une pression stratégique sur l’Espagne .

En juillet 2022, les deux pays ont signé un accord de coopération militaire incluant le renseignement et la cyberguerre, une alliance qui pourrait expliquer la sophistication de l’attaque .

Depuis la normalisation des relations entre le Maroc et l’entité sioniste dans le cadre des accords d’Abraham en 2020, les deux nations ont intensifié leur collaboration en matière de défense numérique.

Des exercices conjoints, comme la simulation d’attaques cybernétiques organisée lors de l’Expo 2020 Dubaï, démontrent leur capacité à opérer dans l’ombre.

Le blackout en Espagne a eu des répercussions dramatiques :
– Trois décès confirmés en Galice, liés à des générateurs défectueux utilisés pendant la panne .
– Des perturbations majeures dans les transports, les communications et les hôpitaux .
– Un impact économique estimé à plusieurs milliards d’euros, avec des entreprises paralysées pendant des heures.

Si le Maroc a réussi à isoler son réseau électrique pour éviter la contagion, il a paradoxalement exporté 519 MW vers l’Espagne pour l’aider à se rétablir, une manœuvre qui pourrait aussi être interprétée comme une stratégie de dissimulation .

Le blackout ibérique pourrait marquer un tournant dans les relations euro-méditerranéennes.

En utilisant des cyberarmes, le Maroc s’aventure dans une zone grise où les frontières entre guerre et paix s’estompent.

Certains analystes craignent que cette escalade ne débouche sur une « guerre froide numérique » entre le Maroc et les pays du sud-ouest européen.

L’Union européenne a déjà annoncé une enquête approfondie pour déterminer les causes de la panne, tandis que l’Espagne examine la piste du « sabotage informatique ».

Si l’implication marocaine est confirmée, les conséquences diplomatiques pourraient être sévères, remettant en question les accords énergétiques et sécuritaires entre Rabat et Bruxelles.