France: des étudiants en journalisme expriment leur solidarité avec le peuple palestinien
Plus de 900 étudiants français en journalisme ont affirmé leur solidarité totale avec le peuple palestinien et exprimé leur soutien inconditionnel aux journalistes palestiniens qui « continuent de témoigner au péril de leur vie ». « Face à ce massacre, nous, étudiants en journalisme mobilisés, affirmons notre solidarité totale avec le peuple palestinien, de Ghaza à la Cisjordanie […]

Plus de 900 étudiants français en journalisme ont affirmé leur solidarité totale avec le peuple palestinien et exprimé leur soutien inconditionnel aux journalistes palestiniens qui « continuent de témoigner au péril de leur vie ».
« Face à ce massacre, nous, étudiants en journalisme mobilisés, affirmons notre solidarité totale avec le peuple palestinien, de Ghaza à la Cisjordanie occupée, et avec les civils qui en sont les premières victimes », ont-il écrit dans une tribune intitulée « Ghaza: nous refusons le silence ».
Qualifiant l’agression sioniste contre la bande de Ghaza de « génocide », ces étudiants ont assuré qu’ils n’emploient « pas ce mot à la légère ».
Ils ont rappelé, à ce titre, que des enquêtes menées par des organisations comme Amnesty International, Human Rights Watch et des commissions d’enquête indépendantes de l’ONU, ont affirmé « le caractère génocidaire de l’horreur déchaînée contre le peuple palestinien à Ghaza ».
Selon ces étudiants, le rapport d’Amnesty International, en particulier, documente non seulement des crimes de guerre à grande échelle, mais met aussi en évidence des éléments démontrant une intention génocidaire de la part de l’occupation sioniste.
« Nous saluons le courage inouï des journalistes palestiniens sur place, qui, malgré les conditions de guerre, les bombardements permanents, les situations de famine, les coupures de courant, la perte de leurs proches et de leurs collègues, continuent de documenter les réalités du génocide en cours », ont-ils ajouté.
Ils ont également apporté leur « plein soutien » au mouvement étudiant, en France comme à l’international, qui dénonce les crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés par l’armée sioniste, ainsi que la « complicité active » de plusieurs gouvernements occidentaux.
Ces étudiants ont appelé, dans ce contexte, les établissements d’enseignement supérieur français à rompre leurs partenariats avec les universités de l’entité sioniste, exprimant leur « solidarité » avec les étudiants ghazaouis, dont les universités ont été détruites sous les bombes, et qui se voient privé de leur droit fondamental à l’éducation.