La décision de l'occupant sioniste de suspendre l'accès de l’aide à Ghaza "menace la vie des civils"

NEW YORK (Nations unies) - Le commissaire général de l'Office des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a affirmé mardi que la décision de l'occupant sioniste de suspendre l’accès de l'aide à Ghaza "menace la vie des civils épuisés par 16 mois de guerre brutale". "La décision (de l'entité sioniste) de suspendre l’accès de l'aide à Ghaza menace la vie des civils épuisés par 16 mois de guerre brutale", a écrit M. Lazzarini dans un message sur les réseaux sociaux. "L’aide humanitaire doit continuer à circuler à une échelle similaire à celle que nous avons observée au cours des six dernières semaines lorsque le cessez-le-feu a commencé", a-t-il poursuivi. Et de souligner que : cette trêve observée depuis le 19 janvier à Ghaza "a apporté un répit et un soulagement aux personnes dans le besoin". "La grande majorité des habitants de Ghaza dépendent de l’aide pour leur simple survie. L’eau, les hôpitaux, les centres de santé et l’électricité sont essentiels pour compléter l’aide alimentaire de base", a tenu à rappeler le patron de l'UNRWA. "L’aide et ces services de base ne sont pas négociables. Ils ne doivent jamais être utilisés comme des armes de guerre", a-t-il conclu. Plusieurs pays et organisations internationales ont dénoncé la décision de l'occupation sioniste de priver la bande de Ghaza de l'aide humanitaire, la qualifiant de "violation du droit international et des chartes onusiennes".

Mars 4, 2025 - 12:40
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La décision de l'occupant sioniste de suspendre l'accès de l’aide à Ghaza "menace la vie des civils"
La décision de l'occupant sioniste de suspendre l'accès de l’aide à Ghaza

NEW YORK (Nations unies) - Le commissaire général de l'Office des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a affirmé mardi que la décision de l'occupant sioniste de suspendre l’accès de l'aide à Ghaza "menace la vie des civils épuisés par 16 mois de guerre brutale".

"La décision (de l'entité sioniste) de suspendre l’accès de l'aide à Ghaza menace la vie des civils épuisés par 16 mois de guerre brutale", a écrit M. Lazzarini dans un message sur les réseaux sociaux.

"L’aide humanitaire doit continuer à circuler à une échelle similaire à celle que nous avons observée au cours des six dernières semaines lorsque le cessez-le-feu a commencé", a-t-il poursuivi. Et de souligner que : cette trêve observée depuis le 19 janvier à Ghaza "a apporté un répit et un soulagement aux personnes dans le besoin".

"La grande majorité des habitants de Ghaza dépendent de l’aide pour leur simple survie. L’eau, les hôpitaux, les centres de santé et l’électricité sont essentiels pour compléter l’aide alimentaire de base", a tenu à rappeler le patron de l'UNRWA.

"L’aide et ces services de base ne sont pas négociables. Ils ne doivent jamais être utilisés comme des armes de guerre", a-t-il conclu.

Plusieurs pays et organisations internationales ont dénoncé la décision de l'occupation sioniste de priver la bande de Ghaza de l'aide humanitaire, la qualifiant de "violation du droit international et des chartes onusiennes".